La lutte chimique est inefficace et la lutte biologique n'est pas disponible. Feuille : au début, présence de petites lésions humides près de la base des pétioles. Avec le développement de la maladie, les lésions deviennent molles, dépressives et brunes avec une marge bien définie.
Racine : le système racinaire ou les racines tubérisées présentent une pourriture molle, beige à brune, d'aspect liégeux ou non. Les bactéries de la pourriture molle peuvent survivre plusieurs mois dans le sol et sur les débris végétaux ainsi que sur les rhizomes infectés. Elles sont propagées par l'eau (éclaboussures, ruissellement, eau d'irrigation), les outils et les insectes. Elles pénètrent dans les tissus surtout par les blessures. Les infections surviennent souvent lorsqu'un autre agent pathogène a déjà envahi les tissus (ex ...
Chez les crucifères, cette maladie peut être confondue avec la médiane noire qui est un désordre physiologique dont l'origine demeure imprécise et qui apparait peu de temps après l'entrée des choux en entrepôt. Feuille : au début, présence de petites lésions humides près de la base des pétioles. Avec le développement de la maladie, les lésions deviennent molles, dépressives et brunes avec une marge bien définie.
Racine : le système racinaire ou les racines tubérisées présentent une pourriture molle, beige à brune, d'aspect liégeux ou non. Les bactéries de la pourriture molle peuvent survivre plusieurs mois dans le sol et sur les débris végétaux ainsi que sur les rhizomes infectés. Elles sont propagées par l'eau (éclaboussures, ruissellement, eau d'irrigation), les outils et les insectes ...
La lutte chimique est inefficace et la lutte biologique non disponible. Feuille : au début, présence de petites lésions humides près de la base des pétioles. Avec le développement de la maladie, les lésions deviennent molles, dépressives et brunes avec une marge bien définie.
Racine : le système racinaire ou les racines tubérisées présentent une pourriture molle beige à brune d'aspect liégeux ou non. Les bactéries de la pourriture molle peuvent survivre plusieurs mois dans le sol et sur les débris végétaux ainsi que sur les rhizomes infectés. Elles sont propagées par l'eau (éclaboussures, ruissellement, eau d'irrigation), les outils et les insectes. Elles pénètrent dans les tissus surtout par les blessures. Les infections surviennent souvent lorsqu'un autre agent pathogène a déjà envahi les tissus (ex ...
Feuille : au début, les feuilles sont vert foncé puis deviennent jaunes, flétrissent et meurent. Les feuilles développent une pourriture molle, beige à brune, d'aspect spongieux près de la surface du sol.
Tige : présence d'une pourriture molle beige à brune près de la surface du sol.
Racine, bulbe, corme et tubercule : le système racinaire présente une pourriture molle beige à brune. Les bactéries de la pourriture molle peuvent survivre plusieurs mois dans le sol, sur les débris végétaux et les rhizomes infectés. Elles sont propagées par l'eau (éclaboussures, ruissellement, eau d'irrigation), les outils et les insectes. Elles pénètrent dans les tissus surtout par les blessures. Les infections surviennent souvent lorsqu'un autre agent pathogène a déjà envahi les tissus (ex ...
Fleur : chez le brocoli et le chou-fleur, les capitules présentent des creux qui permettent une accumulation ou une stagnation de l'eau ce qui favorise les infections bactériennes. Les zones affectées sont humides et se démarquent facilement des zones intactes. Initialement, de petites lésions noires humides se développent sur les tissus et évoluent en une pourriture molle beige à brune. Les bactéries de la pourriture molle peuvent survivre plusieurs mois dans le sol, sur les débris végétaux et les rhizomes infectés. Elles sont propagées par l'eau (éclaboussures, ruissellement, eau d'irrigation), les outils et les insectes. Elles pénètrent dans les tissus surtout par les blessures, mais également par l'extrémité stylaire des fruits comme dans le cas des cucurbitacées ...
La lutte chimique est inefficace et la lutte biologique non disponible. Sur le fruit des cucurbitacées, ce symptôme peut être confondu avec celui causé par le flétrissement bactérien (Erwinia tracheiphila). Fruit : présence d'une pourriture molle beige à brune et humide de la chair causant la liquéfaction des tissus. L'extérieur du fruit peut être sans symptôme. Les bactéries de la pourriture molle peuvent survivre plusieurs mois dans le sol, sur les débris végétaux et les rhizomes infectés. Elles sont propagées par l'eau (éclaboussures, ruissellement, eau d'irrigation), les outils et les insectes. Elles pénètrent dans les tissus surtout par les blessures, mais également par l'extrémité stylaire des fruits comme dans le cas des cucurbitacées ...
La lutte chimique est inefficace et la lutte biologique non disponible. Sur le fruit des cucurbitacées, ce symptôme peut être confondu avec celui causé par le flétrissement bactérien (Erwinia tracheiphila). Fruit : présence d'une pourriture molle beige à brune et humide de la chair causant la liquéfaction des tissus. L'extérieur du fruit peut être sans symptôme. Les bactéries de la pourriture molle peuvent survivre plusieurs mois dans le sol, sur les débris végétaux et les rhizomes infectés. Elles sont propagées par l'eau (éclaboussures, ruissellement, eau d'irrigation), les outils et les insectes. Elles pénètrent dans les tissus surtout par les blessures, mais également par l'extrémité stylaire des fruits comme dans le cas des cucurbitacées ...
Les pertes en postrécolte peuvent être réduites en récoltant les fruits secs, en minimisant les blessures durant la récolte et le lavage et en assurant un entreposage adéquat. Idéalement, l'eau de lavage doit être chlorinée pour détruire les bactéries. Assurer une bonne gestion du climat (température et humidité relative basses et bonne ventilation) lors de l'entreposage et le transport vers les marchés. La pourriture molle bactérienne, causée par Pectobacterium et Dickeya, peut être facilement confondue avec celle causée par d'autres genres de bactéries. Tige et collet : présence de chancres bruns à noirs dans la partie basale de la tige et au collet. Le système vasculaire est brun et parfois la moelle se désagrège. La pourriture progresse dans la tige pour atteindre les fruits ...
Pour diminuer la tache bactérienne chez les Allium, il faut éviter les excès d'azote ou les applications tardives au champ pour permettre une bonne maturité des bulbes, éviter les blessures, les meurtrissures et les insolations aux bulbes lors de la récolte et assurer un séchage et un entreposage adéquat (température de 0 °C, 70 % d'humidité relative et une bonne ventilation). La tache bactérienne est souvent confondue avec la brûlure bactérienne (Xanthomonas axonopodis (syn. X. campestris)). Feuille : présence de taches ou d'une fine ponctuation blanchâtre à jaunâtre plutôt diffuse sur le limbe. Les tissus près du col peuvent pourrir.
Bulbe : présence d'une pourriture molle des tuniques internes qui débute généralement à partir du col. La tache bactérienne affecte les feuilles au champ et les bulbes au champ et en entrepôt ...
Les conditions favorables à leur développement sont une température basse et une humidité élevée. L'eau est essentielle aux bactéries, car elle leur permet de se multiplier, de se déplacer sur de courtes distances grâce à leurs flagelles et d'entrer dans les tissus de leurs hôtes par les blessures ou les orifices naturels. La coulure bactérienne est une maladie occasionnelle et mineure chez le camérisier. Pour diminuer le risque d'une infection par la coulure bactérienne, il faut éviter les blessures et les excès d'azote, éliminer les plants malades et les débris de culture, et utiliser une irrigation goutte à goutte. Il est possible que certains cultivars soient plus sensibles à la maladie. Les symptômes de cette maladie peuvent être confondus avec ceux du gel printanier ou avec une phytotoxicité à certains herbicides ...