Le calcium joue son principal rôle à l'extérieur des cellules. Il sert à créer des liens entre les parois des cellules en les cimentant les unes aux autres. Un manque de calcium implique une perte de cohésion entre les cellules, qui se traduit par une brûlure de l'apex ou de la marge des jeunes feuilles. Dans la plante, le calcium est relativement immobile et véhiculé par l'eau lors de l'évapotranspiration. Les racines, les feuilles médianes et basales contiennent davantage de calcium, comparativement aux jeunes feuilles et aux fruits, car ils transpirent plus. L'évapotranspiration des nouvelles feuilles est moindre et ces tissus se trouvent à l'endroit où les symptômes de carences en calcium se manifestent en premier.
Cette carence est s
Le calcium joue son principal rôle à l'extérieur des cellules. Il sert à créer des liens entre les parois des cellules en les cimentant les unes aux autres. Un manque de calcium implique une perte de cohésion entre les cellules, qui se traduit par une brûlure de l'apex ou de la marge des jeunes feuilles. Dans la plante, le calcium est relativement immobile et véhiculé par l'eau lors de l'évapotranspiration. Les racines, les feuilles médianes et basales contiennent davantage de calcium, comparativement aux jeunes feuilles et aux fruits, car ils transpirent plus. L'évapotranspiration des nouvelles feuilles est moindre et ces tissus se trouvent à l'endroit où les symptômes de carences en calcium se manifestent en premier.
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Le calcium joue son principal rôle à l'extérieur des cellules. Il sert à créer des liens entre les parois des cellules en les cimentant les unes aux autres. Un manque de calcium implique une perte de cohésion entre les cellules, qui se traduit par une brûlure de l'apex ou de la marge des jeunes feuilles. Dans la plante, le calcium est relativement immobile et véhiculé par l'eau lors de l'évapotranspiration. Les racines, les feuilles médianes et basales contiennent davantage de calcium, comparativement aux jeunes feuilles et aux fruits, car ils transpirent plus. L'évapotranspiration des nouvelles feuilles est moindre et ces tissus se trouvent à l'endroit où les symptômes de carences en calcium se manifestent en premier.
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Les feuilles médianes d'un plant de chou chinois montrent un jaunissement à blanchiment irrégulier des tissus. Les feuilles sont aussi cassantes. Le dosage chimique réalisé a permis de détecter la présence de linuron, un herbicide du groupe 7, en faible quantité, mais suffisamment pour contribuer aux symptômes observés. Le linuron est homologué dans la culture du soya, maïs, pomme de terre et plusieurs apiacées mais pas dans celle du chou chinois (brassicacées). Feuilles de chou chinois avec jaunissement à blanchiment
- Le groupe des Potyvirus comprend plus de 200 virus dont le tiers infecte les plantes ornementales. Les maladies virales sont occasionnelles, mais causent des dommages sévères d'une grande importance économique. Les symptômes apparaissent généralement en foyer une à deux semaines après l'inoculation.
Le virus de la mosaïque du navet (Potyvirus) est une maladie grave chez le chou chinois et le rutabaga. Ils ne doivent pas être cultivés à proximité du canola d'automne et de printemps car ces cultures hébergent les pucerons. Les infections mixtes avec un autre virus sont fréquentes. Pour limiter la propagation des virus, il faut utiliser des semences certifiées exemptes de virus, mais la méthode la plus efficace consiste à employer
La moucheture noire est un désordre physiologique affectant le chou et le chou-fleur. C'est essentiellement une maladie d'entreposage. C'est la destruction et le noircissement des cellules de garde et des cellules épidermiques adjacentes aux stomates qui donnent cet aspect de moucheture noire aux feuilles. Il y a deux types de mouchetures noires du chou. Le type I affecte les feuilles vertes externes de la pomme, à la récolte ou au début de l'entreposage. Le type II, appelé la moucheture noire de la sénescence, se manifeste sur les feuilles médianes jaunies après le vieillissement du chou en entrepôt. Par contre, la moucheture noire n'est pas reliée à la sénescence. La moucheture noire est occasionnelle et mineure, affectant surtout la qual
- La bactérie Pseudomonas marginalis s'attaque à une grande variété d'hôtes. C'est une bactérie pectinolytique qui dissout la lamelle moyenne entre les cellules à l'aide de ses enzymes. Cette action accélère la dégradation des tissus, les rendant mous et spongieux. Elle prolifère rapidement à l'intérieur de la plante provoquant une liquéfaction des tissus et une odeur nauséabonde caractéristique. Chez les crucifères, la pourriture molle bactérienne est une maladie fréquente et sévère. Pour limiter la propagation de cette bactérie, il faut cultiver dans des sols bien drainés, récolter dès que la production a atteint sa maturité, refroidir le plus rapidement possible les produits destinés à l'entreposage, minimiser les blessures et
- Le champignon Plasmodiophora brassicae est un parasite obligatoire qui ne se reproduit que dans les racines de la plante hôte. La hernie des crucifères est une des maladies fongiques les plus importantes et sévères des crucifères. Elle affecte autant les légumes feuilles que les légumes racines et les mauvaises herbes de la famille des crucifères, principalement la moutarde. Des pertes de rendement et de la qualité des légumes peuvent être très importantes. La maladie apparaît en foyer, souvent dans les baissières, les zones mal drainées et dans les sols acides. Pour contrer le développement de la hernie des crucifères, il faut utiliser des sols bien drainés, des transplants sains, une eau propre (éviter les eaux de lavage des l
- La tache bactérienne causée par Pseudomonas syringae affecte de nombreuses cultures. Généralement, cette bactérie cause des taches ou des brûlures foliaires, et parfois de la pourriture molle car c'est une bactérie pectinolytique. Chez les crucifères, le chou-fleur, le brocoli et le chou de Bruxelles sont les plus sensibles, mais par temps froid et humide, le chou et le navet sont extrêmement sensibles. Cette maladie est occasionnelle et mineure, mais peut causer, à l'occasion, des pertes de rendement importantes. Les symptômes sont généralement distribués de manière éparse au champ. Pour limiter le développement de la maladie, il faut utiliser des semences traitées, des transplants certifiés, avoir une bonne gestion de l'irriga
En serre, lorsque les plants sont au stade plantule et qu'un épisode de températures élevées survient en été, les jeunes tissus tendres sont affectés. Il y a destruction de la chlorophylle et le limbe prend une teinte grisâtre à blanchâtre, sèche puis meurt. Les dommages sont irréversibles et sont amplifiés si l'intensité lumineuse est également élevée dans la serre. En effet, à partir d'une limite inférieure, si l'intensité lumineuse augmente, la production de la chlorophylle s'accroît jusqu'à une certaine intensité optimale. Lorsque l'intensité optimale est excédée, non seulement la chlorophylle n'est plus produite mais celle qui l'avait été est détruite. Les nouveaux tissus formés par la suite seront sans symptôme. Ce problème non parasi