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Les cotylédons sont glabres avec un limbe de forme carrée, à sommet échancré et à base légèrement cordiforme. Les premières feuilles sont semblables aux feuilles matures. Le liseron des champs peut être confondu avec le liseron des haies (Calystegia sepium) à tous les stades de croissance. Le liseron des haies se distingue par ses feuilles et fleurs plus larges et par les 2 grandes bractées qui sont insérées directement sous la fleur. Il peut aussi être confondu avec la renouée liseron (Fallopia convolvulus) au stade végétatif. Toutefois, la présence d'une gaine membraneuse (ochréa) sur la tige aux nœuds de la renouée liseron contribue à les distinguer. Le liseron des champs est une mauvaise herbe retrouvée dans les endroits perturbés, les jardins, les pâturages et les champs cultivés ...
Les premières feuilles sont semblables aux feuilles matures et sont de couleur vert mat. La renouée liseron peut être confondue avec le liseron des champs (Convolvulus arvensis) et le liseron des haies (Calystegia sepium) aux stades plantule et végétatif, car la forme des feuilles et le port de la plante sont semblables. Par contre, la présence d'un ochréa aux nœuds de la renouée liseron permet de les distinguer facilement. La renouée liseron est une mauvaise herbe retrouvée dans les jardins, les endroits perturbés et les champs cultivés. Elle peut causer des pertes de rendement dans les céréales et le maïs. Elle est bien adaptée à tous les types de sols et à une vaste gamme de conditions climatiques, elle est peu affectée par la sécheresse ou la fertilité du sol ...
Ce dernier se distingue par ses fleurs plus petites et par l'absence de grandes bractées immédiatement sous les fleurs. Ces dernières sont remplacées par deux bractées linéaires situées vers le milieu du pédoncule floral. À l'état végétatif, la renouée liseron (Fallopia convolvulus) peut être confondue avec le liseron des haies. Toutefois, la présence d'une gaine membraneuse (ochréa) sur la tige aux nœuds de la renouée liseron contribue à la distinguer. Le liseron des haies est une mauvaise herbe retrouvée dans les terrains incultes, les jardins, le long des clôtures et dans les champs cultivés. Il peut causer des problèmes dans le maïs, les céréales, les vignobles et les vergers. Il croît dans des endroits lumineux, humides et riches en nutriments ...
Il est aussi long que large, mesurant de 4 à 6 mm. La plantule est à tige et à feuilles alternes. Les cotylédons sont de forme orbiculaire très élargie, pouvant atteindre 15 mm de longueur et 25 mm de largeur. Les premières feuilles sont semblables aux feuilles matures. Le sarrasin commun peut être confondu avec le liseron des champs (Convolvulus arvensis), le liseron des haies (Calystegia sepium) et la renouée liseron (Fallopia convolvulus) au stade végétatif. Le liseron des champs et le liseron des haies se distinguent par l'absence d'un ochréa aux noeuds des feuilles sur la tige et par leur port couché ou grimpant. La renouée liseron se distingue par son port couché ou grimpant et par ses fleurs sans pétales apprents. Le sarrasin commun est une plante cultivée au Canada comme plante fourragère, engrais vert et céréale ...
Polygonaceae - La renouée à nœuds ciliés est une plante vivace, indigène au Canada. Le système racinaire se compose de rhizomes ramifiés. La plante est souvent rougeâtre. La tige est grimpante ou couchée, ramifiée et mesure 1 m de longueur ou plus. Les feuilles sont en forme de cœur. La gaine qui entoure la base du pétiole porte des poils raides. Les fleurs sont petites et réunies en grappes lâches. Il s'agit d'une plante de milieux ouverts retrouvée sur les sols secs sablonneux ou rocheux. Sommet d'un plant, fleurs réunies en grappes lâches ...
L'altise à tête rouge cause rarement des dommages d'importance, mais elle peut parfois atteindre des proportions épidémiques et des traitements sont parfois nécessaires pour limiter les dégâts. L'altise à tête rouge produit une génération par année. Cette espèce hiberne généralement au stade d'oeuf, mais également au stade d'adulte. L'adulte est actif de la mi-juillet à août. Trois stades sont nécessaires pour compléter le développement larvaire qui s'étale de mai à juillet. La larve se nourrit principalement des racines de renouée et de chénopode. Adulte ...
La présence des nervures violacées est très révélatrice et traduit des conditions environnementales de stress. Concernant l'imazéthapyr, c'est plus de 20 espèces de mauvaises herbes ayant montré de la résistance à cette matière active, aux États-Unis. Disséminées au Canada, on retrouve la moutarde des champs (Sinapis arvensis), la bourse-à-pasteur (Capsella bursa-pastoris), le tabouret des champs (Thlapis arvense), la sétaire verte (Setaria veridis), la renouée à feuilles de patience (Polygonum lapathifolium), le gaillet mollugine (Galium spurium), et plus particulièrement au Québec, l'amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus), l'amarante de Powell (Amaranthus powellii), l'amarante à racine rouge (Amaranthus retroflexus), la sétaire géante (Setaria faberi), la morelle noire de l'Est (Solanum ptychantum), la petite herbe-à-poux (Ambrosia artemisiifolia) ainsi que le chénopode blanc (Chenopodium album) qui ont montré de la résistance à l'imazéthapyr ...
Québec, il ne s'agit pour l'instant que d'une seule espèce : la petite herbe-à-poux (Ambrosia artemisiifolia). Concernant l'imazéthapyr, c'est plus de 20 espèces de mauvaises herbes ayant montré de la résistance à cette matière active, aux États-Unis. Disséminées au Canada, on retrouve la moutarde des champs (Sinapis arvensis), la bourse-à-pasteur (Capsella bursa-pastoris), le tabouret des champs (Thlapis arvense), la sétaire verte (Setaria veridis), la renouée à feuilles de patience (Polygonum lapathifolium), le gaillet mollugine (Galium spurium), et plus particulièrement au Québec, l'amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus), l'amarante de Powell (Amaranthus powellii), l'amarante à racine rouge (Amaranthus retroflexus), la sétaire géante (Setaria faberi), la morelle noire de l'Est (Solanum ptychantum), la petite herbe à poux (Ambrosia artemisiifolia) ainsi que le chénopode blanc (Chenopodium album) qui ont montré de la résistance à l'imazéthapyr ...
T en postlevée sur le soya peut causer un retard de croissance, dû au raccourcissement de la tige entre les noeuds, mais ne devrait pas entraîner de baisse du rendement. Concernant l'imazéthapyr, c'est plus de 20 espèces de mauvaises herbes ayant montré de la résistance à cette matière active, aux États-Unis. Disséminées au Canada, on retrouve la moutarde des champs (Sinapis arvensis), la bourse-à-pasteur (Capsella bursa-pastoris), le tabouret des champs (Thlapis arvense), la sétaire verte (Setaria veridis), la renouée à feuilles de patience (Polygonum lapathifolium), le gaillet mollugine (Galium spurium), et plus particulièrement au Québec, l'amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus), l'amarante de Powell (Amaranthus powellii), l'amarante à racine rouge (Amaranthus retroflexus), la sétaire géante (Setaria faberi), la morelle noire de l'Est (Solanum ptycanthum), la petite herbe-à-poux (Ambrosia artemisiifolia) ainsi que le chénopode blanc (Chenopodium album) qui ont montré de la résistance à l'imazéthapyr ...
T en postlevée sur le soya peut causer un retard de croissance, dû au raccourcissement de la tige entre les noeuds, mais ne devrait pas entraîner de baisse du rendement. Concernant l'imazéthapyr, c'est plus de 20 espèces de mauvaises herbes ayant montré de la résistance à cette matière active, aux États-Unis. Disséminées au Canada, on retrouve la moutarde des champs (Sinapis arvensis), la bourse-à-pasteur (Capsella bursa-pastoris), le tabouret des champs (Thlapis arvense), la sétaire verte (Setaria veridis), la renouée à feuilles de patience (Polygonum lapathifolium), le gaillet mollugine (Galium spurium), et plus particulièrement au Québec, l'amarante tuberculée (Amaranthus tuberculatus), l'amarante de Powell (Amaranthus powellii), l'amarante à racine rouge (Amaranthus retroflexus), la sétaire géante (Setaria faberi), la morelle noire de l'Est (Solanum ptycanthum), la petite herbe-à-poux (Ambrosia artemisiifolia) ainsi que le chénopode blanc (Chenopodium album) qui ont montré de la résistance à l'imazéthapyr ...

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