Se dit de la face d'un organe du côté inférieur de celui-ci, qui fait face au sol.
La troisième et dernière des principales divisions du corps d'un insecte, ou division postérieure.
La troisième et dernière des principales divisions du corps d'un insecte, ou division postérieure.
Se dit d'un facteur de l'environnement de nature non biologique ou physico-chimique, qui influence les organismes y vivant; c'est l'action du non-vivant sur le vivant. (Ex. : Le climat, la photopériode, le sol, etc.)
Se dit d'une plante dont les feuilles et les bourgeons semblent s'attacher directement au collet, sans tige apparente.
Organe issu de la reproduction asexuée observable chez certains Coelomycètes. Cet organe est ouvert, en forme de coupe et il contient des conidies. Initialement, l’acervule est produit dans les tissus de l’hôte et, à maturité, il est librement exposé à l’air. Voir aussi : Pycnide.
Se dit d'un organe se terminant en pointe aiguë et raide comme une aiguille.
Hormone végétale agissant lors de l'allongement des entrenoeuds, de la germination, de la floraison, de la sexualisation des fleurs, etc. Syn. : Gibbérelline GAs.
Conidies produites en chaîne; la plus jeune conidie étant toujours localisée à l’apex de la chaîne. Par opposition à : Conidies en chaîne basipétale.
En référence à une symbiose végétale. Nodule (nodosité) racinaire élaboré par des bactéries actinomycètes du genre Frankia. Cette association symbiotique est le siège d'une importante fixation d'azote libre de l'air.
Qui se termine en pointe aiguë.
Se dit de la face d'un organe du côté supérieur de celui-ci, qui fait face au soleil.
Substance ajoutée en mélange à des pesticides afin d'en améliorer les propriétés et l'efficacité. Les adjuvants sont homologués à des fins précises et pour un pesticide donné.
L'acide désoxyribonucléique est le support de l'information génétique dans les chromosomes. Il est formé de deux brins complémentaires formant une double hélice dont l’ensemble de l’ADN d’un organisme forme le génome. L’ADN est constitué de nucléotides formés d’une base (adénosine, cytidine, guanosine et thymidine), d’un sucre (désoxyribose) et d’un phosphate.
Plante étrangère à la flore indigène d'un territoire. En agriculture, plante qui pousse spontanément dans une culture et dont la présence est indésirable. Syn. : Mauvaise herbe.
Groupe de champignons dont le mycélium est stérile, sans aucune structure de reproduction.
Faisceau ou couronne de poils, de soies ou d'écailles attaché à la graine.
Fruit sec et dur, à une seule graine, qui ne s'ouvre pas à maturité.
Qui appartient aux ailes; qui est relatif aux ailes.
Tissu de réserves nutritives dans la semence utilisé par l'embryon lors de la germination ou emmagasiné directement dans les cotylédons.
Petite molécule azotée et basique (alcalin) synthétisée par les plantes ayant des propriétés médicamenteuses, comme la morphine et la codéine ou des propriétés toxiques. (Ex. : L'ergot du blé, la solanine des tubercules de pommes de terre.)
Conidie (spore asexuée) terminale (donc solitaire) résultant de la fragmentation d'un hyphe. Peut être confondue avec des chlamydospores. (Ex. : Humicola, Nigrospora.)
Qui a la forme d’un fœtus ou d’une saucisse; cylindrique et arqué.
Qualifie un effet direct ou indirect d'un micro-organisme ou d'une plante sur un autre organisme par la libération de composés chimiques dans l'environnement.
Feuilles disposées une à une sur une tige ou apparaissant une à la fois au sommet de l'axe de croissance.
Spore formée d’une seule cellule (= spore sans septation).
Principal glucide de réserve des végétaux supérieurs, un constituant essentiel de l'alimentation humaine.
Hyphe dont l’apex est renflé et ressemble à une vésicule claviforme (en forme de massue). (Ex. : Cylindrocladium.)
Partie basale postérieure; relatif au dernier segment abdominal (qui porte l'anus).
Voir : Stade asexué.
Sur l’hyphe, présence d’une petite structure latérale (excroissance) en forme de boucle qui relie deux cellules voisines au niveau de la septation. Cette structure permet de maintenir l’état dicaryotique du mycélium (propre à plusieurs Basidiomycètes). Syn. : Boucle d’anastomose. Terme anglais : Clamp connections.
Le champignon Rhizoctonia solani possédant une grande variabilité génétique, il a été subdivisé en au moins 13 différents groupes reconnus sous l'appellation de groupes d'anastomose (AGs, anastomosis groups) : AG1 à AG12 et AG-B1. Cette appellation correspond à la capacité d'une souche, d'un groupe d'anastomose quelconque, à pouvoir anastomoser (fusionner) ses hyphes avec les hyphes d'une autre souche; il y a fusion si les deux souches appartiennent au même groupe d'anastomose. En distinguant ces différents groupes d’anastomose, il a été possible de déterminer que certains groupes étaient reliés à certaines espèces végétales. Par exemple, chez la pomme de terre, le principal groupe reconnu pour être phytopathogène est le groupe AG3.
Plantes à fleurs dont les graines (ovules) sont enfermées à l'intérieur d'un fruit (ovaire clos). Par opposition à : Gymnosperme.
Angle basal antérieur de l'aile.
Se dit d'une espèce dont le cycle vital est incomplet; se multiplie par parthénogenèse, sans reproduction sexuée.
Suspension temporaire des activités vitales permettant à un organisme de résister à une longue période de dessiccation. Reprise de la vie active dès le retour de l'humidité.
Ion chargé négativement, par opposition à cation.
Subdivisé en anneaux.
Plante qui produit une rosette de feuilles généralement tard dans la saison de croissance, qui persiste durant l'hiver et qui reprend vie la saison suivante.
Toute coloration anormale et superficielle couvrant entièrement ou partiellement une partie de plante.
Se dit d'un organisme dont l'action s'oppose à celle d'un autre organisme.
Juste avant l'apex.
Appendices sensoriels situés sur la tête.
Antennes dont le premier article est allongé et les autres insérés de façon à former un coude avec le premier.
Antennes dont les articles terminaux sont en forme d'éventail.
Antennes dont les articles terminaux sont élargis et aplatis ou en lames d'un côté.
Entre la base de l'aile et le nodus. Voir aussi : Nodus.
Juste avant le dernier segment abdominal (pygidium).
À l'avant et sur le côté.
Portion terminale de la partie mâle d'une fleur qui contient le pollen.
Chez les Oomycètes, organe mâle qui féconde l’oogone et produit l’oospore.
Anthéridie qui enveloppe le pied de l’oogone (propre au genre Phytophthora). Par opposition à : Anthéridie paragyne.
Anthéridie provenant d’un hyphe différent de l’oogone qu’elle féconde (propre au genre Pythium). Par opposition à : Anthéridie monocline.
Anthéridie située entre l’oogone et l’hyphe sur lequel l’oogone repose (propre au genre Pythium).
Anthéridie formée au milieu d’un hyphe et qui féconde une oogone provenant d’un autre hyphe.
Anthéridie provenant du même hyphe que l’oogone qu’elle féconde (propre au genre Pythium). Par opposition à : Anthéridie dicline.
Anthéridie qui n’enveloppe pas le pied de l’oogone (propre au genre Phytophthora). Par opposition à : Anthéridie amphigyne.
Période où tous les organes d'une fleur ont acquis leur plein développement et que la fertilisation peut avoir lieu. Syn. : Floraison.
Pigments végétaux allant du rouge orangé au bleu pourpre, colorant les feuilles, les pétales et les fruits.
Composé chimique ou microbiologique toxique ayant la propriété d'inhiber ou de tuer la croissance des bactéries et autres microorganismes.
Protéine spécifique de défense élaborée par l'organisme en réaction à l'introduction d'une substance étrangère appelée antigène. L'anticorps est capable de se combiner spécifiquement avec cet antigène.
Substance étrangère (généralement une protéine) à un organisme capable de provoquer la formation d'anticorps. L'antigène ne réagit qu'avec l'anticorps spécifique correspondant.
Orifice postérieur du tube digestif.
Appelé aussi endurcissement au froid, maturation estivale du bois ou des bourgeons en prévision de la période hivernale.
Extrémité, opposée à la base, d’un organe ou d’un segment.
Relatif à l'apex.
Oospore qui ne remplit pas complètement l’oogone.
Un organisme qui n'a pas de pattes, qui se déplace en rampant.
Organe issu de la reproduction sexuée observable chez certains Ascomycètes. Cet organe est ouvert, en forme de coupe et souvent porté sur un pied. L’apothèce contient des asques qui eux contiennent des ascospores. Syn. : Apothécie. Terme latin : Apothecium (singulier) / Apothecia (pluriel). Voir aussi : Cléistothèce et Périthèce.
L’extrémité différenciée d’un hyphe qui permet au champignon de pouvoir se fixer à son hôte, au site de pénétration. Terme latin : Appressorium (singulier) / Appressoria (pluriel).
Voir : Appressoria.
Se dit de poils couchés contre l'organe qui les porte.
Qui est dépourvu d'ailes.
Qui contient de l'eau.
Petite cellule entre les nervures des ailes.
Prolongement ou appendice filiforme souvent droit et raide.
Longue soie sur la face dorsale du troisième article de l'antenne de certains diptères (brachycères).
Muni d'une arête.
L'acide ribonucléique est un acide nucléique composé de ribonucléotides formés de quatre sortes de bases (adénine, guanine, cytosine et uracile) et impliqué principalement dans la synthèse des protéines.
Voir : Arthrospore.
Conidie (spore asexuée) résultant de la fragmentation d'un hyphe. Syn. : Arthroconidie. (Ex. : Arthrospores de Geotrichum.)
Chacune des subdivisions des antennes, des palpes ou des tarses chez les arthropodes.
Nom général donné aux fructifications des Ascomycètes (apothèces, périthèces, cléistothèces) qui contiennent des asques et ascospores. Syn. : Ascoma.
Groupe de champignons dont la reproduction sexuée conduit à la production de spores appelées ascospores, qui sont contenues dans l’asque.
Spore sexuée formée dans un asque (propre aux Ascomycètes).
Stroma contenant des fructifications sexuées avec des asques.
Structure en forme de sac, produite par les champignons ascomycètes, contenant les ascospores, généralement formée dans un organe de fructification fongique lors du stade de reproduction sexuée (stade parfait).
Se dit des asques qui ne sont pas contenus dans une structure protectrice comme un périthèce ou un cléistothèce.
Larve de mouche, sans pattes ni tête bien développées.
Qui ne présente aucun symptôme visuel.
Se dit de l'atmosphère des entrepôts dont la composition de l’air en gaz (oxygène (O2), gaz carbonique (CO2)), la température ambiante et l’humidité relative sont régulées. Permets de contrôler le mûrissement des fruits.
Rudimentaire, de taille réduite.
Partie ligneuse d'un arbre, tendre et généralement blanche, qui correspond aux couches de croissance les plus récemment formées où circule la sève et qui renferme des matières de réserve comme l'amidon; partie située entre l'écorce et le duramen (bois de cœur).
Lobe ou appendice arrondi en forme d'oreille; chez les poacées, petites projections croissant à la partie supérieure de la gaine, au point où elle joint le limbe.
Se dit d'un parasite qui complète tout son cycle biologique sur le même hôte (par opposition à hétéroïque).
Hormone végétale qui favorise ou inhibe la croissance. Une forte concentration d'auxine favorise le développement et la croissance des racines.
Mort soudaine ou chute des boutons floraux non ouverts ou des jeunes fruits. Chez les céréales, absence de développement des grains (coulure).
Qui croît à l'aisselle d'une branche ou d'une feuille.
Petit sclérite dorsal du thorax, ordinairement antérolatéral au scutellum.
Microorganisme unicellulaire procaryote (sans noyau), dépourvu de chlorophylle, qui se reproduit par division cellulaire simple (fission binaire).
Fruit charnu à graines éparses dans la pulpe.
Dépression observée dans un champ, dans laquelle l'eau de pluie séjourne.
Prolifération anormale des rameaux à partir d'un même point de croissance chez les plantes ligneuses; induit par certains champignons, phytoplasmes, virus ou insectes. L'ensemble ressemble à un balai.
Situé à la base, au point d'attache; situé plus près de la base que de l'apex.
Organe simple ou cloisonné, souvent en forme de massue, qui porte extérieurement les spores issues de la reproduction sexuée (stade parfait) chez les basidiomycètes.
Groupe de champignons comprenant la très grande majorité des espèces macroscopiques, mais aussi certaines espèces microscopiques telles que les rouilles et les charbons. Les Basidiomycètes produisent leurs spores sexuées (basidiospores) sur des basides.
Spore sexuée formée sur une baside (propre aux Basidiomycètes).
Conidies produites en chaîne; la plus jeune conidie étant toujours localisée à la base de la chaîne. Par opposition à : Conidies en chaîne acropétale.
Proboscis; pièces buccales proéminentes.
Qui est en partie fendu en deux dans le sens de sa longueur.
Muni de deux flagelles.
Qui a des couleurs variées.
Se dit de l'ensemble des pétales (corolle) ou des sépales (calice) d'une fleur dont les parties partiellement soudées forment 2 lèvres distinctes.
Consiste à cultiver sur de petites buttes étroites. Permet d’améliorer les propriétés physiques, chimiques et biologiques de certains sols comme les sols argileux.
On appelle biopesticides les produits antiparasitaires composés soit de microorganismes trouvés à l’état naturel ou génétiquement modifiés (agents microbiens), de phéromones et d’autres composés sémiochimiques, ou de substances biochimiques qui ont été acceptées et homologuées à titre de biopesticides par l’EPA. Les biopesticides forment un sous-groupe des produits à risque réduit. (Ex. : Bacillus thuringiensis, gluten de maïs, savon insecticide, etc.)
Sous-groupe à l'intérieur de l'espèce montrant des caractères particuliers.
Se dit de la paroi d’un asque qui comporte une double épaisseur. Par opposition à : Paroi unituniquée.
Qualifie les espèces qui complètent deux générations par an.
Voir : Blastospore.
Groupe représentant les levures, qui sont des structures unicellulaires se reproduisant uniquement par bourgeonnement.
Spore asexuée (conidies) formée par bourgeonnement. Syn. : Blastoconidie.
Conidies regroupées en grappes. (Ex. : Botrytis.)
Chez le stade immature, structure qui se développera en aile au stade adulte.
Partie d'une plante utilisée à des fins de reproduction asexuée qui s'enracine et est à l'origine d'un nouveau plant.
Petite feuille modifiée qui accompagne les fleurs, parfois colorée vivement. (Ex. : Bractées des fleurs de poinsettia.)
Terme botanique désignant la famille des crucifères.
Plage de tissus desséchés, sans forme bien définie, habituellement supérieure à un centimètre, recouvrant entièrement ou partiellement une feuille ou une fleur.
Plantes ne possédant pas de vrai système vasculaire ni de racine et qui se reproduisent à l'aide de spores : les mousses, les sphaignes, les hépatiques et les anthocérotes.
Relatif à la bouche.
Région de la tête située sous chaque œil composé; plaque ou rebord situé sur le côté inférieur de la tête, de chaque côté du rostre.
Sclérote microscopique. Voir aussi : Sclérote et Microsclérote. (Ex. : Burgoa, Minimedusa, Papulaspora.)
Opération qui consiste à former une butte de terre à la base d'un plant comme la carotte ou la pomme de terre. Permets de créer de nouvelles racines, protéger la base des plants, renforcer la résistance au vent ou faire blanchir une partie de la plante.
Se dit d’un sporange qui se détache du sporangiophore lorsqu’il est mature (propre au genre Phytophthora).
Chez l'ail, parties internes d'un bulbe qui servent à la multiplication de la plante et à cuisiner. Chaque caïeu mis en terre donne un nouveau bulbe. Syn. : Gousse.
Prolifération de cellules végétales qui se développent sur une blessure pour la cicatriser.
Enveloppe extérieure de la fleur, presque toujours verte, formée de pièces libres ou soudées (les sépales). Partie située à la base du pédoncule chez le poivron.
Renflement à la base d'un épillet ou d'un fleuron.
Partie arrondie de la région antérieure du notum thoracique (diptères).
Assise de cellules situées entre le bois et l'écorce et assurant l'accroissement du diamètre du tronc, des tiges et des racines de presque toutes les dicotylédones vivaces et des gymnospermes.
Se dit d'une fleur ayant la forme d'une clochette.
Canal qui mène à l’ouverture de la fructification dans le cas d’un périthèce pour les Ascomycètes et dans le cas d’une pycnide pour les Coelomycètes. Voir aussi : Ostiole.
Rameaux de deux ans lignifiés, qui portent les fruits du framboisier et de la ronce.
Se dit d'un organe muni de dépressions (cannelures) et de crêtes longitudinales en alternance.
Écran formé par l'ensemble plus ou moins continu des branches et du feuillage des arbres et autres plantes ligneuses d'un peuplement végétal; par extension, couvert végétal d'une culture.
Voir Capillitium.
Système capillaire fin composant les spores de certains champignons.
Inflorescence dense constituée de petites fleurs sessiles insérées les unes contre les autres sur un réceptacle commun et entouré de bractées. Inflorescence typique de la famille des astéracées.
Apex de la tige d'une sphaigne; les faisceaux des rameaux sont rapprochés et forment une tête. Terme latin : Capitulum (singulier) / Capitula (pluriel).
Fruit sec déhiscent, généralement à plusieurs graines.
Revêtement dorsal dur formé par la fusion de sclérites chez certains arthropodes.
Se dit d'un organe qui présente une arête saillante (semblable à la quille d'un bateau).
Arête saillante ou crête.
Chez les angiospermes, pièce florale qui porte les ovules. Le carpelle est composé de l'ovaire, du style et du stigmate dont l'ensemble constitue le pistil.
Organe de fructification des champignons basidiomycètes, souvent constitué d'un pied et d'un chapeau, et portant des spores à la face inférieure du chapeau; partie visible de ces champignons. Syn. : Sporophore.
Lors de la fécondation, fusion des noyaux de deux gamètes (mâle et femelle) pour former la cellule œuf diploïde.
Fruit sec, indéhiscent, à graine unique soudée avec le péricarpe.
Ion chargé positivement par opposition à anion.
Relatif à la queue ou à la partie postérieure du corps.
Se dit d'un organe inséré sur la tige.
Unité de structure fondamentale de tout être vivant qui comporte essentiellement un noyau et un cytoplasme.
Cellule fertile située à l’apex d’un conidiophore et qui permet la formation de la conidie.
Se dit de la cellule constituant l'écorce des bois.
Cellule épidermique spécialisée qui borde l'ostiole du stomate.
Toute cellule qui contribue à la formation des différents tissus de l'épiderme.
Tissus des feuilles constitués de cellules allongées perpendiculairement à la surface de la feuille (épiderme). Le tissu palissadique est le siège principal de la photosynthèse.
Cellule imprégnée de subérine qui résulte en la formation d'un tissu liégeux, imperméable à l'eau.
Plant de vigne en production.
Variété de vigne.
Région du corps composée de la tête et des segments thoraciques chez les chélicérates (araignées, opilions et acariens).
Appendices (généralement pairs), segmentés et articulés, du dernier segment abdominal, qui sont généralement effilés, mais qui peuvent prendre l'apparence de pinces, comme chez les perce-oreilles.
Qui forme des touffes compactes.
Organisme eucaryote (dont le noyau est séparé du cytoplasme par une membrane), dépourvu de chlorophylle et incapable de photosynthèse, qui se nourrit de substances organiques, dont certaines espèces sont parasites des plantes.
Zones déprimées, décolorées ou non, et pouvant présenter des fentes, fendillements ou fissures. Les chancres peuvent être présents sur les tiges, les branches, le tronc, le collet et les racines pivotantes comme la carotte, le panais, le radis, le rutabagas, etc. Sur les fruits et les tubercules, il est préférable d'utiliser le terme fente.
Se dit d'un fruit à pulpe épaisse et consistante. Se dit aussi de toute plante ou de tout autre organe aux tissus épais.
Type d'inflorescence composée de fleurs unisexuées, formant un épi et se détachant tout d'une pièce après la floraison.
Tige des poacées, creuse, munie de nœuds apparents d’où partent les feuilles. Partie de la tige des céréales qui reste sur pied après la récolte.
Se dit d'une association entre un élément mineur (B, Cu, Fe, Mn, Mo et Zn) et une molécule organique (acides aminés), rendant ces éléments utilisables par les plantes.
Appendice buccal caractéristique des chélicérates (araignées, opilions et acariens), semblable à des crocs, servant à injecter du venin dans une proie et à la nutrition.
Tache en forme de V renversé ou de triangle.
Dans le domaine de la phytopathologie, une chimère correspond à une plante ou une partie de plante portant une anomalie génétique qui cause un défaut dans la production de la chlorophylle dû à une mutation de l'ADN des jeunes tissus en formation.
Instrument agricole permettant le déchaumage et le labour du sol en profondeur.
Polysaccharide (glucides) de soutien qui entre dans la composition de la cuticule des arthropodes et des champignons. Elle procure rigidité et imperméabilité.
Spore de repos (= organe de conservation) qui résulte de la transformation d’une cellule préexistante en une cellule à paroi plus épaisse et souvent pigmentée. (Ex. : Thielaviopsis, Fusarium.)
Chez les végétaux verts, organite des cellules qui contient la chlorophylle et assure la photosynthèse.
Revêtement externe de l'œuf.
Règne comprenant la classe des Oomycètes.
Stade de développement intermédiaire entre la larve et l'adulte chez les lépidoptères (papillons).
Marque, sous forme de petites dépressions ou de protubérances, laissée par une rupture, une chute ou une blessure. (Ex. : Ccatrice foliaire.)
Voir : Pore.
Se dit d’un organe enroulé comme une fougère. Terme anglais : Circinate. (Ex. : Apex circiné des fulcres d’Uncinula circinata.)
Agglomération de conidies prenant l’apparence d’un ruban ou d’une vrille et qui provient de l’intérieur d’une pycnide ou d’un acervule (propre aux Coelomycètes). Voir aussi : Exsudat. (Ex. : Septoria, Phomopsis.)
Rameau aplati spécialisé, qui a l'apparence d'une feuille et en assure les mêmes fonctions : photosynthèse, respiration et réserves. (Ex. : Asperge et Opuntia.)
Système de classification des organismes vivants, basé sur les caractères morphologiques de l’organisme. Syn. : Systématique classique ou classification traditionnelle.
Système de classification des organismes vivants qui prend en compte des degrés de parenté entre les espèces et qui permet de comprendre leur histoire évolutive, leurs relations génétiques. Syn. : Systématique phylogénétique.
Voir : Claviforme.
Qui a la forme d’une massue; renflé à l’apex. Syn. : Clavé. Terme anglais : Clavate ou Club-shaped.
Section postérieure de l'aile antérieure chez les hémiptères.
Organe issu de la reproduction sexuée observable chez certains Ascomycètes. Cet organe est une structure globulaire dépourvue d’ouverture (sans ostiole). Le cléistothèce contient des asques qui eux contiennent des ascospores. Ces ascospores sont relâchées lorsque le cléistothèce se brise. Le cléistothèce, le périthèce et l’apothèce sont des ascocarpes ; terme général. Voir aussi : Apothèce et Périthèce. Syn. : Chasmothèce.
Individus ou ensemble des individus provenant d'un génotype unique par multiplication végétative.
Sclérite de la tête, entre le front et la lèvre supérieure (labre).
Étui de soie dans lequel a lieu la métamorphose de la larve en adulte chez certains insectes.
Champignons qui produisent des conidies asexuées portées sur des conidiophores, qui s’organisent et qui se développent à l’intérieur d’une structure (pycnide ou acervule).
Terme utilisé pour qualifier le mycélium lorsqu’il ne possède pas de septations (parois ou cloisons transversales). Syn. : Non septé, non cloisoné.
Partie qui recouvre et protège l'extrémité de la racine. Qui sert à la pénétration de la racine dans le sol.
Chez les Allium, partie située juste au-dessus du bulbe.
Étui ou gaine enveloppant la jeune tige qui émerge de la semence des graminées dans le sol.
Se dit d'une structure qui tourne autour d’un point central.
Jonction de la gaine et du limbe chez les feuilles de poacées; réfère également à la jonction de la tige et des racines.
Particules organiques ou minérales qui se trouvent en suspension dans un liquide, souvent de l'eau.
Petite structure tubulaire située sur le côté ventral du premier segment abdominal chez les collemboles.
Renflement de la portion terminale du sporangiophore (propre aux Mucorales). (Ne pas confondre avec la vésicule terminale des Hyphomycètes).
Composé d'origine naturelle ou un produit de synthèse dont un des éléments chimiques est le carbone.
Qui présente une surface courbe incurvée vers l'intérieur par opposition à convexe.
Spore asexuée produite sur un conidiophore ou une cellule conidiogène (propre aux Coelomycètes et aux Hyphomycètes).
Hyphe spécialisé se terminant par une cellule conidiogène qui a comme fonction de produire une conidie. Terme anglais : Stipe.
Stroma contenant des fructifications asexuées.
Action d'exercer une pression circulaire qui diminue le diamètre d'un organe.
Qui est adjacent; voisin.
Qui présente une surface courbe arrondie vers l'extérieur par opposition à concave.
Se dit de la base d'un organe en forme de cœur.
Voir : Synnema.
Qui a une texture semblable au cuir.
Région basale, ordinairement durcie de l'aile antérieure chez les hémiptères.
Bulbe souterrain solide formé par l’épaississement de la base de la tige. Contient les réserves principalement sous forme d’amidon. Syn. : Bulbe caulinaire. (Ex. : Cormes de crocus.)
Cône formé par les feuilles du plant de maïs avant l'émergence de la panicule (croix).
Petit appendice latéro-dorsal, semblable à une corne, situé sur l'abdomen des aphidés (pucerons). Les cornicules servent d'organes de défense, car ils permettent aux pucerons de projeter de petites gouttes de cire sur les pièces buccales des prédateurs les approchant.
Ensemble des pétales (libres ou soudés) d'une fleur, ordinairement colorée.
Particule virale, présente dans le cytoplasme ou le noyau de certaines cellules infectées, qui joue un rôle important dans l'identification des virus qui causent l'infection.
Tissu d'une tige ou d'une racine compris entre l'épiderme et le système vasculaire; écorce.
Inflorescence où les pédoncules partent de niveaux différents et s'élèvent à peu près à la même hauteur.
Se dit d'une inflorescence qui simule la forme d'un corymbe.
Qualifie les organismes qui peuvent être rencontrés dans toutes les régions du monde, à cause de leur aire de répartition géographique très étendue.
Nervure formant la bordure antérieure de l'aile.
Feuille embryonnaire contenant des réserves nutritives, premier organe à sortir du sol après la germination.
Accident physiologique lié à l'absence de fécondation des fleurs ou à un arrêt très précoce du développement des fruits. Le phénomène résulte souvent d'accidents climatiques, mais aussi de carences minérales ou d'un excès de vigueur. Chez la vigne, la coulure se traduit par le millerandage (fruits de volumes différents sur les grappes). Chez les graminées, il s'agit du blanchissement et du dessèchement prématuré de l'épi et de la tige à partir du dernier nœud entraînant la stérilité de l'inflorescence.
Qui coupe perpendiculairement à un organe.
Représente la partie apicale d'un tubercule où sont concentrés la majorité des yeux, par opposition au talon.
Couverture possédant une bonne perméabilité à l'eau et à l'air installée sur des cultures fragiles ou les primeurs pour les protéger des intempéries (froid, gel et certains insectes) et accroître la maturité. Elle est dite « flottante », puisqu’elle est très légère et lève avec les plantes à mesure qu’elles croissent.
Segment basal de la patte.
Apex du dernier segment de l'abdomen; épine terminale de l'abdomen qui aide une nymphe souterraine à se frayer un chemin dans le sol; l'un des crochets anaux par lesquels se suspendent les pupes.
Bordé de dents obtuses ou arrondies.
Boutons floraux non ouverts, recourbés en forme de crochet chez la canneberge; petits appendices recourbés sur les pseudopodes des chenilles.
Plante qui cesse sa croissance en hauteur dès qu'elle atteint un certain stade de développement qui correspond souvent au stade boutons floraux.
Plante dont la croissance en hauteur n'est jamais terminée jusqu'à ce qu'elle meurt.
Chez le maïs, nom donné à la panicule terminale regroupant les fleurs mâles.
L'un des deux petits lobes à la base de l'aile, présent chez certains diptères.
En forme de coin ou de triangle renversé.
Partie apicale plus ou moins triangulaire de la corie (hémiptères).
Tégument constituant la zone superficielle plus ou moins rigide du revêtement externe d'un insecte ou d’un nématode, formé de chitine et de protéines. Couche protectrice et imperméable, composée de cires et de cutine, qui recouvre l’épiderme des végétaux.
Partie d'une pomme entourant le pédoncule. Zone localisée à l'opposé de la zone stylaire.
Inflorescence de base des euphorbes caractérisée par une seule fleur femelle réduite au pistil au centre et entourée de cinq fleurs mâles réduites chacune à une étamine. Syn. : Cyathium.
Partie interne de la racine qui est constituée du péricycle, des tissus conducteurs (xylème et phloème) et de la moelle. Syn. : Stèle.
Inflorescence formée d'axes terminaux aboutissant chacun à une seule fleur.
Chez les astéracées, fruit sec indéhiscent renfermant une seule graine et surmonté d'un pappus persistant.
Agrégat de spores de conservation. Ce type de spore est communément observé chez le genre Spongospora subterranea (la gale poudreuse chez la pomme de terre). Terme latin : Sporosorus (singulier) / Sporosori (pluriel).
Dans la cellule, zone entre la membrane plasmique et le noyau, élément fondamental qui renferme les vacuoles et les organites.
Rameau court, en forme d'épine (framboisier), ou terminé par un bourgeon à fleur ou à bois (pommier).
Éclosion des bourgeons végétatifs et floraux. Ce moment, qui marque la fin de la dormance, varie en fonction de l'espèce et du climat local.
Se dit d'un organe qui tombe, se détache tôt.
Se dit d'une plante, de tiges ou de rameaux couchés au sol avec les extrémités dressées.
Se dit d'une feuille dont le limbe se prolonge sur le pétiole ou la tige.
Agent desséchant utilisé pour sécher artificiellement une culture. (Ex. : Pomme de terre.)
Se dit des fruits ou d'un organe s'ouvrant naturellement à maturité pour libérer les graines, le pollen ou des spores.
Matières fécales; fèces.
Propriété d'un corps qui peut se désagréger et passer à l'état liquide en absorbant l'humidité de l'air; se liquéfier après la maturation.
Se dit d'un organe en forme de triangle.
Se dit d'un organe qui se ramifie à la manière d'un arbre.
Conversion des nitrates (NO3) en oxydes gazeux (N2) et en oxydes nitreux (N2O).
Qui porte des dents ou des expansions semblables à des dents.
Qui porte de petites dents.
Affaissement d'une plante accompagné d'anomalies de coloration, de brûlures foliaires ou d'une défoliation. Inclus le manque de débourrement des plantes pérennes au printemps.
Décollement et perte de la couche superficielle de l'épiderme.
Groupe taxonomique artificiel dans lequel on retrouve des organismes à mycélium septé et dont on ne connaît habituellement pas le stade sexué.
Fruit sec, indéhiscent, composé de deux méricarpes. Voir aussi : Schizocarpe.
Période d'inactivité totale pendant laquelle le métabolisme d'un organisme se trouve suspendu. Elle peut survenir à n'importe quel stade de développement et n'est pas toujours en réaction à des conditions environnementales défavorables.
Qui laisse passer la lumière sans être transparent. Syn. : Translucide.
Cellule de champignon contenant deux noyaux haploïdes compatibles qui conduit à la caryogamie; commun chez les basidiomycètes.
S'applique aux yeux plus ou moins largement séparés par le front.
Grand groupe de plantes dont l'embryon a deux cotylédons; comprend les plantes dites à feuilles larges.
Spore formée de trois cellules ou plus et composée de septations transversales et longitudinales. (Ex. : Conidies d’Alternaria.)
Spore formée de deux cellules, donc avec une septation.
En forme de doigt.
Se dit lorsque les fleurs mâles et femelles sont portées par des plants différents.
Qui est en position éloignée.
Divergent.
Qui a la forme d’un tonneau ou d’un baril. Du latin dolium, qui signifie « petit tonneau ».
Inhibition du développement des bourgeons latéraux inférieurs par le bourgeon apical d'une tige; réponse aux auxines produites par le bourgeon apical.
Relatif au dos ou à la surface supérieure d'un corps ou d'une structure.
Sur le dessus et vers le côté.
Fruit charnu indéhiscent dont le noyau est lignifié et renferme habituellement une seule graine. (Ex. : Prune, cerise, abricot, olive et pêche.)
Petite drupe, fruit élémentaire, qui aggloméré, forme les framboises et les mûres.
Zone interne du bois d'un arbre, généralement plus coloré que l'aubier, qui ne contient plus de cellules vivantes. Syn. : Bois parfait, bois de cœur.
Mue ou rejet de l'exosquelette.
Portant une découpure ou une entaille.
Accident physiologique altérant la maturation des grains chez les céréales se traduisant par des grains de petite taille. Brûlure par le soleil des baies chez la vigne.
Paroi cellulaire rugueuse constituée de fines protubérances pointues. (Ex. : Conidies échinulées d’Alternaria alternata.)
Structure de fructification en forme de coupe et contenant les écidiospores. Les écies sont produites par les Pucciniales (anciennement Urédinales), ordre de champignon responsable des rouilles. Syn. : Écie, écidiosores. Terme anglais : Aecie. Terme latin : Aecium (singulier) / Aecia (pluriel).
Chez les champignons de la rouille, spore produite dans une écie. Sur les rouilles hétéroïques, stade où les spores infectent l'hôte alterne. Syn. : Éciospore. Terme anglais : Aeciospore.
Suppression de certains fruits des arbres fruitiers pour favoriser un meilleur développement des fruits conservés. Permets d'ajuster la charge en fruits des arbres fruitiers.
Nématode complétant tout son cycle de développement à la surface des tissus de son hôte.
Organisme qui se développe à l'extérieur de son hôte et qui tue généralement ce dernier durant son développement ou à la fin de son développement.
Se dit d’une croissance mycélienne se développant à la surface ou entre les cellules des racines d’une plante. Par opposition à : Endotrophe. (Ex. : Magnaporthe.)
Mousse blanchâtre, qui peut être produite par la larve de certains insectes afin de se protéger.
Éléments minéraux du sol ou appliqués au sol qui sont véhiculés par le système vasculaire des plantes vers l'extrémité des organes, par opposition à un élément non mobile.
Chez les plantes évoluées, cellules spécialisées dans le transport de la sève brute (sève ascendante).
Qui a la forme d’une ellipse; forme plus large au centre et arrondie aux extrémités.
Aile antérieure coriace, très rigide et inapte au vol, présente chez les coléoptères et des orthoptères. La paire d’élytres protège les ailes postérieures membraneuses (seules aptes au vol) au repos.
Se dit d'un organe qui s'attache directement, par sa base élargie, à la tige ou à l'axe qui le porte.
Issu de la fécondation et constitué d'une tigelle, d'une radicule et d'un (monocotylédones) ou de deux cotylédons (dicotylédones).
Phénomène par lequel l'adulte quitte son étui nymphal ou sa dernière cuticule larvaire.
Excroissance ou galle à la surface d'une feuille ou d'une tige.
Maladie ou ravageur présent naturellement et exclusivement dans une région donnée ou une zone géographique délimitée.
Partie interne du péricarpe; paroi du noyau (achène). Partie d'une pomme qui correspond au cœur entourant les loges carpellaires.
Nématode se développant et se déplaçant librement à l'intérieur des tissus de son hôte.
Parasite vivant à l'intérieur du corps de son hôte et qui ne se déplace plus.
Organisme qui se développe à l'intérieur de son hôte et qui tue généralement ce dernier durant son développement ou à la fin de son développement.
Se dit d'un champignon qui vit à l’intérieur d’une plante sans affecter son développement; genre de symbiose.
Tissu végétal de réserves nutritives dans la graine des angiospermes qui entoure l'embryon. Syn. : Albumen.
Se dit d’une croissance mycélienne se développant à l’intérieur des cellules des racines d’une plante. Par opposition à : Ectotrophe. (Ex. : Gaeumannomyces.)
À bordure lisse, sans dents ou échancrures.
Substance protéique catalysant (activant) une réaction biochimique spécifique.
Enzyme impliquée dans la transmission de l'influx nerveux qui convertit l'acétylcholine en choline et acétate. Elle est la cible directe de la plupart des insecticides neurotoxiques.
Éliminer les pousses (pampre) qui croissent sur la souche ou le porte-greffe.
Qui est distribué au hasard, sans patron défini.
Partie de la racine pivotante immédiatement sous le collet. (Ex. : Carotte.)
Épine généralement mobile; prolongement d'une partie de la fleur qui contient souvent du nectar.
Forte épine présente sur le tibia, ordinairement à l'apex de celui-ci.
Inflorescence où les fleurs (épillets chez les cypéracées et les poacées) sont portées directement (sans pédicelle) le long d'un axe simple.
Stade repère dans la croissance des graminées qui correspond à l'apparition de l'inflorescence.
Partie de la tige d'une plantule située au-dessus des cotylédons.
Partie supérieure de la tête étendue de la région frontale au cou.
Tissu le plus superficiel des organes végétaux.
Petit épi composé d'une ou plusieurs fleurs (fleuron), unité florale de base de la famille des cypéracées et des poacées.
Sclérite thoracique situé juste derrière la suture pleurale. Voir aussi : Suture pleurale.
Courbure orientée vers le bas que présentent certains végétaux due à une croissance plus rapide de la face supérieure d'un organe par rapport à celle de la face inférieure. Contraire de hyponastie.
Qui croît sur une autre plante sans la parasiter.
Appendice situé juste au-dessus de l'anus et qui semble issu du dixième segment abdominal.
Sclérite thoracique situé juste en avant de la suture pleurale. Voir aussi : Suture pleurale.
Organe floral mâle constitué du filet et de l'anthère.
Gaz incolore produit par les plantes qui agit comme hormone végétale. Il est impliqué dans la maturation des fruits et la sénescence.
Développement anormal d’une plante soumise à une absence prolongée de lumière, qui se manifeste par une réduction de la teneur en chlorophylle, un faible développement des feuilles et une élongation anormale des tiges (entrenœuds longs).
Quantité d'eau totale transférée du sol vers l'atmosphère par l'évaporation au niveau du sol et par la transpiration des plantes.
Squelette externe; structure de soutien à l'extérieur du corps.
Partie de la cuticule rejetée au moment d'une mue.
Plante ayant une taille plus petite que la normale (nanisme) ou plante grêle présentant une germination faible ou absente.
Ensemble d'organes de même nature partant d'un même point d'insertion.
Qui a la forme d’une faucille. Terme anglais : Falcate. (Ex. : Conidies falciformes de Colletotrichum graminicola.)
Regroupement des matières actives basé sur leur structure chimique.
Ensemble des tiges et des feuilles de certaines cultures, notamment la pomme de terre.
Aplatissement ou soudure d'organes ou de tiges; souvent d'origine pathologique.
Regroupement de conidies formant des petits amas, aussi appelés glomérules. Le terme « fausse tête », un anglicisme tiré du terme anglais false heads, est généralement utilisé pour décrire les microconidies de Fusarium sp.. Notez que le terme « fausse tête » peut porter à confusion, car il n’existe pas de « vraie tête ».
Résidus de la digestion des animaux, éliminés par l'anus sous forme plus ou moins liquide.
Segment de la patte, entre le trochanter et le tibia.
Système permettant l'apport d'eau enrichie d'éléments fertilisants à la culture.
Feuille insérée à la base de la tige, proche du niveau du sol. Les plus vieilles feuilles.
Limbe découpé en plusieurs folioles attachées au même pétiole.
Chez les graminées, se dit de la dernière feuille située au sommet de la tige, directement sous l'inflorescence.
Feuille insérée entre les feuilles basales et terminales.
Lorsque le limbe est entier, non divisé.
Feuille insérée au sommet de la tige, loin du sol. Les plus jeunes feuilles.
Partie grêle de l'étamine qui porte l'anthère.
Qui a une forme effilée.
Dont la marge est frangée ou finement découpée.
Appendice permettant la mobilité d'une cellule (bactéries et champignons).
Affaissement d'une plante à la suite d'une perte de turgescence. La plante demeure verte.
Organe de reproduction sexuée composé de pièces protectrices et de pièces fertiles (mâles et femelles).
Chez les astéracées, chacune des petites fleurs dont l'ensemble est disposé sur un même réceptacle et simulant une fleur; chez les poacées, le fleuron désigne chacune des fleurs et comprend notamment la lemme et la paléole. Chez le brocoli, chacune des petites fleurs sessiles qui composent le capitule.
Ayant la consistance ou l'apparence d'une feuille.
Chacune des parties d'une feuille composée ressemblant à une feuille (parfois appelé penne).
Fruit sec s'ouvrant par une seule fente.
Voir : Stade asexué.
Voir : Stade sexué.
Soie ou groupe de soies à la base de l'angle huméral des ailes postérieures. Syn. : Frein.
Feuille des fougères généralement composée d'un stipe et d'un limbe.
Portion de la face limitée par les sutures frontales et la suture épistomale et portant les ocelles médians.
Structure femelle de la plante renfermant les graines à maturité.
Appendice filiforme présent au pourtour d’un cléistothèce.
Ensemble des produits utilisés pour amender un sol.
Ensemble des articles antennaires situés entre les articles annulaires et la massue.
Chez les collemboles, appendice fourchu à l'extrémité de l'abdomen leur permettant d'effectuer de grands sauts.
Qui a la forme d’un fuseau; forme allongée et cylindrique au centre et pointue aux extrémités. (Ex. : Macroconidies fusiformes de Fusarium culmorum.)
Fusion physique et fonctionnelle des racines de deux végétaux, appartenant généralement à la même espèce. Syn. : Anastomose racinaire. (Ex. : Pommier.)
Chez le poireau, pseudo-tige cylindrique blanche surmontée de longues feuilles vertes; correspond à la partie blanche du poireau.
Base d'une feuille, d'un pétiole entourant partiellement la tige; partie inférieure de la feuille qui entoure la tige chez les cypéracées et les poacées.
Se dit d’un insecte dont le développement induit, sur sa plante hôte, la formation de galles dans lesquelles se développent ses larves.
Motifs faits de creux et de reliefs sur le limbe d'une feuille.
Qui présente du gaufrage.
Voir : Gène.
Région de la tête située sous chaque œil composé, lorsqu'on observe l'insecte de côté; s'apparente à une joue. Terme anglais : Gena.
Rang taxonomique (taxon) qui regroupe des espèces.
Embryon d'une plante contenu dans une graine.
Dépourvu de poils, s'oppose à pubescent.
Se dit d'un organe couvert de glandes ou d'un poil muni d'une glande.
De couleur vert bleuâtre; chez les salicacées se dit d'une mince couche de cire qui se détache de la surface par frottement.
Qui est sphérique; arrondi. Syn. : Globuleux.
Voir : Globulaire.
Portion des pièces buccales qui est située à l'apex du proboscis; correspond à l'extrémité de la langue chez les insectes possédant des pièces buccales de type broyeur-lécheur.
Bractée à la base de l'épillet chez les poacées, généralement par deux.
Famille de substances toxiques, composée de sucre et d’alcaloïde, communément trouvée chez les solanacées et qui donne un goût amer aux denrées.
Complexe polysaccharidique formé par les cellules en réaction à une blessure ou une infection. Écoulement d’un exsudat épais, ambré, sur l’écorce d’un arbre ou l’épiderme d’une plante à la suite d’une blessure ou d'une infection.
Production de gomme par une plante ou un arbre à la suite d’une réaction de défense naturelle localisée ou d’une attaque par un microorganisme. Nom d'une maladie chez les arbres fruitiers principalement.
Fruit sec, allongé, s'ouvrant par deux fentes.
Inflorescence formée d'un axe principal allongé portant des branches latérales terminées par des fleurs (par des épillets chez les poacées).
Se dit d'une femelle qui est prête à pondre chez les ovipares.
Partie d'une plante que l'on insère (greffe) sur une autre plante (porte-greffe).
Griffe positionnée à l'extrémité du dernier tarse.
Nombre ou lettre attribué aux groupes d’insecticides, de fongicides et d’herbicides en fonction de leur mécanisme d’action. Pour gérer le problème de la résistance, il importe de faire des rotations des groupes de pesticides.
Gorge; sclérite ventral de la tête chez les insectes.
Phénomène biologique caractérisé par l’apparition de gouttelettes d’eau à la marge des feuilles au niveau des hydatodes à la fin de la nuit.
Se dit des conidies contenant une ou plusieurs guttules. (Ex. : Certaines espèces d’Oidium ont des conidies guttulées.)
Fine structure arrondie et incolore ayant l’apparence d’une gouttelette d’huile et pouvant être présente à l’intérieur de spores. Elle peut ressembler à une vacuole.
Plante à fleurs dont les graines (ovules) sont nues et non enfermées dans un vrai fruit (ovaire clos). Par opposition à : Angiosperme.
Couronne diffuse ou floue, de coloration claire, généralement jaune, ceinturant une tache. Le halo est une manifestation de l'interaction hôte-pathogène.
Appendices en forme de massue situés de part et d'autre du métathorax et tenant lieu de balancier lors du vol (diptères). Les haltères correspondent à la paire d'ailes postérieures qui est très atrophiée chez les diptères.
Pédoncule partant de la base de la plante et portant une ou plusieurs fleurs.
Feuille plus ou moins triangulaire munie à la base de deux lobes en pointe étalés horizontalement ou encadrant le pétiole. Syn. : Sagittée.
Structure d’infection; l’extrémité d’un hyphe, issu d’un appressorium, qui s’introduit à l’intérieur d’une cellule de la plante hôte et se transforme en hyphe spécialisé « suçoir » afin d’y extraire les nutriments. Terme latin : Haustorium (singulier) / Haustoria (pluriel).
Voir : Haustoria.
Liquide présent dans le système circulatoire chez les invertébrés qui remplit le même rôle que le sang.
Se dit d'un parasite qui complète son cycle biologique sur au moins deux hôtes successifs (par opposition à autoïque).
Organisme vivant qui dépend de substances organiques externes pour son alimentation et sa croissance.
Voir : Hile.
Voir : Hile.
Densément couvert de poils épais, raides et rugueux.
Densément couvert de poils courts, fins, raides et piquants.
Se dit d'une espèce dont le cycle vital est complet.
Lorsque cohabite les deux stades de reproduction, sexué et asexué, d’un même champignon.
Dont les 2 yeux se touchent; qui a les yeux réunis sur la ligne médiane, qui sont accolés.
Deuxième hôte requis pour qu’un agent pathogène complète son cycle vital. (Ex. : Les rouilles dioïques.)
Assemblage de soies ou de poils formant une touffe.
Période pendant laquelle de l'eau liquide est présente sur un organe végétal. Syn. : Période de mouillure.
Appareil utilisant un matériau absorbant permettant d’appliquer un herbicide directement sur les mauvaises herbes.
Relatif à la partie antérieure basale de l'aile.
Matière organique en décomposition dans le sol.
Sans couleur, presque transparent.
Petit organe situé à l'extrémité des fines nervures des feuilles et formé de cellules aquifères qui laissent exsuder de l'eau à travers l'ostiole des stomates. Ces pores opèrent lors du phénomène de guttation (sudation) pendant lequel la plante exsude de l'eau retrouvée en excès, en raison d'une diminution de la transpiration et d'un taux d'humidité élevé du sol, sous forme de gouttelettes à la marge des feuilles.
Molécule organique composée exclusivement de carbone (C) et d'hydrogène (H).
Qui apprécie les milieux aquatiques ou humides.
Mesure l'humidité relative (%) qui correspond à la quantité de vapeur d'eau dans l’air par rapport à la capacité maximale que l’air peut en contenir. L'humidité relative dépend de la température et de la pression.
Tapis de cellules productrices de spores (asques ou basides) et de cellules stériles, chez les champignons supérieurs (ascomycètes et basidiomycètes).
Parasite dont l'hôte est lui-même parasite.
Division cellulaire exagérée qui cause l'augmentation de la taille d'un tissu ou d'un organe.
Mécanisme de défense d'une plante qui est activé en réponse à une attaque par un agent pathogène. Se traduit par la mort programmée des premières cellules infectées ce qui limite la propagation de l’agent pathogène dans le reste de la plante.
Augmentation du volume d'un organe.
Fin filament tubulaire végétatif produit par un champignon. Lorsque ce filament se multiplie, on parle alors de mycélium.
Hyphe relié à l'appressorium qui pénètre et se développe entre les cellules de la plante hôte et qui permet la formation d'haustorium dans les cellules. Hyphe reliant l'appressorium à l'haustorium.
Plusieurs hyphes qui se développent parallèlement et qui créent ainsi des cordons.
Champignons qui produisent des conidies asexuées portées sur des conidiophores. Ces conidiophores ne sont pas organisés à l’intérieur d’une structure, mais ils reposent directement sur le mycélium.
Type d’appressoria se formant latéralement sur des hyphes ramifiés. Terme latin : Hyphopodium (singulier) / Hyphopodia (pluriel). Voir aussi : Appressoria et Haustoria.
Partie de la tige d'une plantule située sous les cotylédons et au-dessus des racines (par opposition à épicotyle).
En botanique, la réponse hyponastique correspond au phénomène de flexion vers le haut d'une feuille ou d'un autre organe de plante. À l'inverse de l'épinastie, l'hyponastie est causée par la croissance plus rapide de la face inférieure de l'organe par rapport à celle de la face supérieure. Sur une feuille, l'hyponastie s'exprime par la forme convexe de sa face inférieure et la forme concave de sa face supérieure.
Structure médiane de la bouche, juste en avant du labium.
Sclérite du thorax situé juste au-dessus de chaque coxa chez les diptères.
Fine couche membraneuse, laissée par le plasmode au moment de la fructification, située sur le substrat à la base de l’organe reproducteur des myxomycètes.
Structure fongique allongée qui s'ouvre par une fente longitudinale, permettant l'éjection des ascospores chez les rouges des conifères.
Se dit d'organes qui se chevauchent partiellement.
Résistance d'une plante à l'introduction d'un agent pathogène.
Se dit d'un fruit qui ne s'ouvre pas à maturité pour libérer ses graines.
Qui est originaire du pays où il vit.
Qui dépend d'une seule espèce pour son alimentation; qui complète son cycle vital sur une espèce de plante spécifique; qui est associé à un milieu particulier.
Mode de regroupement des fleurs d'une plante; ensemble de ces fleurs.
Mode de disposition des fruits d'une plante autour d'un axe.
Substance infectieuse; partie d’un agent pathogène (spores fongiques, cellules bactériennes, particules virales) qui cause une infection.
Espèce vivant à l'intérieur d'une autre, ou fixée sur elle, sans se nourrir à ses dépens.
Insecte qui possède des mandibules développées, puissantes et tranchantes, capable de couper et de mâcher des aliments solides comme des feuilles, des graines ou d'autres insectes.
Nervures de la partie distale de l'aile, situées entre les nervures médianes et anales.
Entre les stries; s'applique particulièrement aux espaces qui séparent les stries sur les élytres des coléoptères.
Ensemble des bractées insérées en un ou plusieurs verticilles qui sous-tendent une fleur ou une inflorescence.
Mode d'irrigation selon lequel l'eau est projetée au-dessus des cultures simulant une pluie ou une bruine.
Lobe digitiforme situé à la base de l'aile antérieure, dans l'angle postérieur.
Lèvre inférieure, ou pièce buccale postérieure.
Lèvre supérieure, située en avant des mandibules et sous le clypéus.
Déchirement observé sur un tissu, souvent les feuilles, à la suite d’un évènement circonstanciel comme la grêle.
Lobe interne, souvent acéré, situé à l'extrémité distale de la maxille.
Pilosité blanchâtre; poils fins, longs et emmêlés.
Rameau court terminé par un bourgeon à fruit.
Constituant de la paroi cellulaire, avec la paroi primaire et la paroi secondaire, qui sépare deux cellules végétales adjacentes.
Stade de développement immature entre l'œuf et la pupe chez les insectes à métamorphose complète; entre l'œuf et l'adulte chez les insectes à métamorphose incomplète (nymphe).
Stade d'une infection au cours de laquelle aucun symptôme n'est observé sur une plante infectée. La plante est tout de même porteuse de l'agent infectieux. Des symptômes peuvent par la suite se manifester ou ne jamais s'exprimer.
Situé d'un côté ou de l'autre de la ligne médiane.
Suc laiteux renfermé dans les tissus de certaines plantes.
Bractée inférieure (glumelle inférieure) insérée sur le rachéole et sous-tendant la fleur des poacées; par opposition avec la paléole (glumelle supérieure).
Petits pores à la surface de l'épiderme ou de l'écorce servant aux échanges gazeux; en forme de lentille.
Petit organe au sommet de la gaine des feuilles de poacées, elle est membraneuse ou constituée de cils; se dit aussi d'une portion, en forme de languette, de la corolle d'un fleuron externe dans le capitule de la famille des astéracées.
Partie principale, plane, élargie et étalée d’une feuille, d'un sépale ou d'un pétale.
Transformation d'un tissu végétal solide en un tissu liquide sous l'action d'un agent pathogène ou d'un problème non parasitaire.
Bande formant une bordure d'une autre couleur que le fond.
Couche superficielle d’un sol composé de débris organiques plus ou moins décomposés.
Chacune des divisions d'une feuille.
Lobe situé à la base de l'aile postérieure, dans l'angle postérieur (hyménoptères).
Chacune des cavités cloisonnées contenues à maturité dans l'anthère, le gynécée, le fruit, l'ovaire, etc.
Qui pousse ou qui se développe en abondance et avec vigueur.
Pigment rouge de la famille des caroténoïdes observé principalement dans la tomate.
Chez le genre Fusarium, plusieurs espèces produisent des macroconidies et des microconidies.
Se dit d'un organe qui est plus ou moins recouvert de taches de couleur différentes de la couleur principale.
Altération de la forme d'une partie ou de l'aspect général d'une plante. Les tumeurs, nodules, galles ou gommoses sont considérées comme étant des malformations. Inclus la destruction de l'apex ou du bourgeon apical.
Paire supérieure des mâchoires chez les insectes de type broyeur; crochets buccaux des larves de Muscidae.
Altération de la couleur sous forme de taches irrégulières.
Se dit d'un organe qui se dessèche sans pourrir et demeure sur place sans tomber.
Relatif à la marge.
Renflement terminal d'un appendice.
Pour un pesticide, la matière active est l’ingrédient actif qui élimine l’organisme nuisible ciblé. Aussi appelée « nom commun » ou « ingrédient actif » sur l’étiquette d’un produit commercial, le nom de la matière active est écrit après la mention « Garantie ».
L'une des deux pièces buccales situées juste derrière les mandibules.
Qui est placé au milieu.
Qui se rapporte à la moelle d'une plante.
Division sexuée du noyau d'une cellule par laquelle le nombre de chromosomes est réduit de moitié. Il en résulte la formation de gamètes qui jouent un rôle dans la fécondation.
Pigment brun foncé observé chez les champignons, les animaux et les humains.
Surface de l'aile localisée entre les nervures; partie distale non épaissie de l'aile chez les hémiptères.
Membrane simple entourant le cytoplasme d’une cellule et qui est adjacent à la paroi cellulaire. Syn. : Plasmalemme.
Chacune des parties indéhiscentes d'un schizocarpe se séparant à maturité.
Chez les végétaux, tissu indifférencié ou peu différencié, constitué de cellules qui se multiplient activement et servant à la croissance en longueur et en diamètre de la plante.
Chez les végétaux, tissu indifférencié ou peu différencié, constitué de cellules qui se multiplient activement, localisé à l'extrémité des tiges et des racines et servant à la croissance en longueur de la plante. Syn. : Méristème primaire.
Plan médian divisant le corps en parties gauche et droite. Syn. : Médian.
Préfixe signifiant médian ou intermédiaire; fait généralement référence au deuxième segment thoracique.
Face supérieure du mésothorax.
Tissu fondamental de la feuille, localisé entre les épidermes inférieur et supérieur. Aussi appelé parenchyme palissadique.
Partie antérieure du mésothorax.
Deuxième segment du thorax.
Préfixe désignant le troisième segment thoracique (métathorax) ou l'article basal du tarse (métatarse).
Test permettant d'évaluer la salinité d'un sol par une mesure de la conductivité électrique d'un mélange d'une part de ce sol et de deux parts d'eau.
Chez les espèces d’Aspergillus à tête bisériée, cellule stérile qui insère la phialide sur la vésicule.
Chez le genre Fusarium, plusieurs espèces produisent des macroconidies et des microconidies.
Mode d'irrigation selon lequel l'eau est apportée directement à la plante et distribuée sous faible pression grâce à un système de tuyaux perforés posés ou enfouis dans le sol. Syn. : Irrigation goutte à goutte.
Sclérote de très petite dimension (1 à 3 mm), mais visible à l'œil nu. Voir aussi : Sclérote et Bulbille.
Sécrétion sucrée produite par certains insectes, notamment les pucerons et les cochenilles.
Milieu de culture artificiel contenu dans des plats de Petri ou dans des tubes. Utilisé pour faire croître et conserver vivant des champignons ou des bactéries. Il existe plusieurs « recettes » de milieux de culture. Pour les milieux de culture qui favorisent la croissance fongique, certains sont considérés comme riches pour favoriser la production de mycélium et d’autres sont considérés comme pauvres pour inciter l’organisme à produire ses organes de repos/de réserve ou ses organes sexués. Certains milieux sont gélosés et d’autres sont liquides. Pour les milieux de culture qui favorisent la croissance bactérienne, certains sont généraux où tous les genres peuvent y croître et d’autres sont différentiels où les colonies de certains genres sont une apparence caractéristique donc facilement repérable.
Le milieu de culture CV8 est un milieu gélosé nutritif à base de jus de légumes (V8) clarifié. Utilisé pour la culture de la majorité des champignons incluant les Oomycètes comme Phytophthora et Pythium.
Le milieu de culture PDA provient de l’anglais Potato Dextrose Agar. Ce milieu de culture gélosé est produit à base d’infusion de pomme de terre et de dextrose; il contient des antibiotiques. Milieu de culture riche. Favorise la production de mycélium. Utilisé pour conserver plusieurs espèces de champignons dans une collection.
Le milieu de culture PHY ou P5ARPH agar contient du Cornmeal Agar, des antibiotiques et des antifongiques (il contient un antifongique de plus que le milieu P5ARP qui nuit à la croissance du genre Pythium). Couramment utilisé pour favoriser la croissance du genre Phytophthora.
Le milieu de culture PYT ou P5ARP agar contient du Cornmeal Agar, des antibiotiques et des antifongiques. Couramment utilisé pour favoriser la croissance du genre Pythium.
Le milieu de culture SNA provient du nom allemand Spezieller Nährstoffarmer Agar qui signifie « gélose pauvre en nutriments ». Le milieu étant pauvre en éléments nutritifs, il favorise le développement des structures pouvant aider à l’identification du genre fongique. Utilisé pour la culture de la majorité des champignons excluant les Oomycètes comme Phytophthora et Pythium. Syn. : Synthetic Nutrient-poor Agar, Soft Nutrient Agar, Synthetic low-Nutrient Agar.
Désordre physiologique se produisant à la floraison par une fécondation imparfaite et qui produit des baies sans pépin, petites et rondes.
Forme de transmission d'un virus dans laquelle le virus demeure transmissible pendant une courte période (heures ou jours) alors qu'il est à l'intérieur de son vecteur.
Forme de transmission d'un virus dans laquelle le virus demeure transmissible pendant une longue période (semaines, mois) alors qu'il est à l'intérieur de son vecteur.
Tissu généralement mou occupant la partie centrale des tiges, qui joue un rôle dans l'emmagasinage des substances nutritives.
Grand groupe de plantes dont l'embryon n'a qu'un seul cotylédon; comprend les poacées et les cypéracées.
Se dit d'une espèce qui réalise tout son développement sur une seule espèce de plante.
Se dit lorsque les fleurs mâles et femelles sont portées par un même plant.
Glucide (sucre) composé de molécules simples non hydrolysable comme le glucose et le fructose et jouant un rôle énergétique et structural.
Stade d'allongement des tiges chez les céréales.
Symptôme de décoloration non uniforme du limbe des feuilles. Le patron de décoloration comprend un enchevêtrement de zones de couleur normale, vert pâle et jaune. Ce symptôme est généralement lié à une infection virale.
Minuscule décoloration sur les feuilles ou les fruits, souvent en grand nombre; petite marque ou tache.
Petite pointe raide qui termine une feuille ou un autre organe.
Le pluriel de mycélium.
Partie végétative des champignons; amas d’hyphes pouvant être visibles à l’œil nu. Syn. : Thalle. Voir aussi : Hyphe.
Petites bactéries sans paroi cellulaire appartenant à la classe des mollicutes, responsables de multiples infections chez l'homme et les animaux.
Toxine produite par un champignon.
Protistes fongiformes non phytopathogènes rencontrés sur différents substrats végétaux. Un de leurs stades de développement est le plasmode, une masse gélatineuse.
Qui a la forme d’une toupie ou d’un navet. Du latin napus ou napi, qui signifie « navet ». (Ex. : Microconidies napiformes de Fusarium poae.)
Chez les termites, soldat dont la tête est amenuisée en un bec à l'avant.
Zone biogéographique formant une unité écologique unique (écozone), qui recouvre l’essentiel de l’Amérique du Nord, y compris le Groenland et une partie du territoire au nord du Mexique.
Mort prématurée d'un tissu végétal résultant de la destruction non programmée de ses cellules. Les nécroses sont généralement caractérisées par du brunissement et du dessèchement.
Ver rond, cylindrique, de taille microscopique et vivant dans le sol. Quelques espèces sont parasites des animaux ou des végétaux.
Très jeune larve qui en est à son premier stade de développement.
Petite nervure réunissant deux nervures longitudinales adjacentes.
Saillie formée à la face inférieure des organes foliacés (feuille, sépale, pétale, bractée) par les faisceaux de tissus conducteurs de la sève; ligne épaissie faisant partie de la charpente de l'aile.
Nervure la plus postérieure de l'aile.
Nervure située dans la région postérieure des ailes.
Nervure plus ou moins transverse, située vers le milieu de l'aile antérieure.
Nervure formant la bordure antérieure de l'aile antérieure chez les insectes.
Cinquième nervure longitudinale de l'aile d'un insecte.
Nervure transverse oblique située derrière l'extrémité basale du stigma.
Nervure transverse reliant les nervures costale et sous-costale (située à la base de l'aile).
Nervure située sur la bordure ou immédiatement en deçà de la bordure de l'aile; nervure formant le côté postérieur de la cellule marginale (hyménoptères).
Une ou deux nervures transverses situées juste derrière la nervure cubitale (hyménoptères).
Processus de formation de nodules.
Petite excroissance globuleuse sur les racines résultant de l'action de microorganismes symbiotiques fixateurs d'azote; petit renflement. (Ex. : Les élytres de certains coléoptères sont couverts de nodules.)
Chez les odonates : nervure épaissie située vers le milieu de la bordure antérieure de l'aile. Chez les fourmis : petits segments situés entre le thorax et la partie principale de l'abdomen.
Point d'insertion d'une feuille sur une tige.
Se dit d’un sporange qui ne se détache pas du sporangiophore lorsqu’il est mature (propre au genre Phytophthora).
Molécule qui ne comporte aucune charge nette.
Chez les diptères, dépression de la surface dorsolatérale du thorax, située à l'extrémité de la suture transverse.
Surface dorsale d'un segment thoracique.
Période correspondant au début du développement des fruits.
Structure cellulaire contenant les chromosomes. Délimité par une membrane nucléaire. En botanique, élément interne, durci et lignifié, du péricarpe qui contient l'unique ou les nombreuses amandes de certains fruits.
Stade intermédiaire entre la larve et l'adulte chez les insectes à métamorphose complète. Chez les insectes à métamorphose incomplète, ce terme désigne le stade précédant l'adulte (larve) pendant lequel les ailes et les pièces génitales ne sont pas complètement formées et fonctionnelles.
Préfixe qui donne la signification inverse du terme qu’il précède.
Qui a la forme d’une massue inversée, renflée à la base. Syn. : Claviforme inversé. Terme anglais : Obclavate. Voir aussi : Obpyriforme.
Se dit d'un organe en forme de cône inversé.
De la forme d'une lance, plus large près de l'apex.
Se dit d’un micro-organisme ne pouvant pas croître sur un milieu de culture artificiel; il se développe uniquement sur les tissus vivants de son hôte.
Plus long que large avec les côtés presque parallèles.
De forme ovale, mais plus large près de l'apex.
Qui a la forme d'un œuf inversé; ovale plus étroit à la base.
Qui a la forme d’une poire inversée, renflée à la base. Voir aussi : Obclavé.
Partie postérieure de l'épicrâne, entre le vertex et le cou.
Oeil simple ou photorécepteur, situé sur le dessus de la tête chez certains insectes; peut aussi désigner une tache en forme d'œil sur les ailes de certains insectes, notamment des papillons.
Gaine membraneuse soudée à la base de chaque pétiole et entourant complètement la tige des polygonacées.
Qui contient huit spores. Du latin octo qui signifie le chiffre « huit ». (Ex. : Un asque octosporé contient huit ascospores.)
Désordre lié à une trop grande absorption d’eau par les racines pour la capacité d’évaporation de la plante. Le surplus d’eau fait monter la pression interne des cellules des feuilles qui éclatent. Ces cellules éclatées prennent un aspect liégeux.
Chez la pomme, le terme "oeil" est utilisé pour nommer l'apex du fruit qui contient les restes de la fleur (sépales et étamines).
Oeil formé de nombreux éléments distincts, chacun formant une facette. Les facettes sont ordinairement plus ou moins hexagonales.
Article basal élargi de l'antenne, qui surplombe ou recouvre complètement ou en partie l'œil composé.
Qui contient de l'huile.
Élément nécessaire aux plantes en petites quantités telles que le bore, le cuivre, le manganèse. Syn. : Éléments mineurs.
Inflorescence où les pédoncules partent d'un même point et s'élèvent à peu près à la même hauteur.
Terme décrivant généralement des ponctuations portant des structures internes ressemblant à un nombril.
Dispositif naturel ou artificiel qui permet de fournir temporairement de l'ombre à une culture en diminuant l'intensité du rayonnement solaire direct.
Oogone dont la paroi présente des petites protubérances pointues.
Chez les Oomycètes, organe femelle fécondé par l’anthéridie et qui produit l’oospore.
Oogone intercalaire qui se forme en chaîne sur l’hyphe.
Oogone formée au milieu de l’hyphe.
Oogone formée à l’extrémité de l’hyphe.
Protistes fongiformes microscopiques produisant des zoospores biflagellées (stade asexué) et des oospores (stade sexué). Leur mycélium est coenocytique (non septé).
Spore à paroi épaisse issue de la reproduction sexuée des Oomycètes (fécondation oogone/anthéridie).
Capsule contenant des œufs.
Constituant riche en azote synthétisé dans les cellules des tissus végétaux transformés par la bactérie Agrobacterium tumefaciens (tumeur du collet).
Champignon normalement présent dans une plante sans l’affecter, mais qui peut provoquer une maladie à la suite d'une diminution des défenses de celle-ci.
Feuilles disposées par deux face à face sur une tige ou apparaissant deux à la fois au sommet de l'axe de croissance.
En forme de cercle.
Région autour de l'oeil (périorbiculaire).
Chez les poacées, expansions du limbe autour de la tige (le terme auricules est aussi utilisé).
Terme souvent utilisé pour caractériser un champignon ou un protiste fongiforme. Organisme phytopathogène de faible virulence qui affecte les plantes qui sont soumises à des conditions non optimales et/ou des conditions de stress environnementales/culturales comme un stress hydrique, des températures trop élevées ou trop basses ou une soudaine variation de température. Syn. : Parasite de faiblesse / Parasite secondaire.
Structure ou corps différencié dans une cellule.
Partie inférieure du pistil de la fleur qui renferme les ovules et qui, après fécondation, deviendra le fruit.
Plus large vers le bas.
Qui pond des œufs.
Organe présent chez la femelle de certains insectes permettant de pondre les œufs dans des cavités ou dans des hôtes (animal ou végétal).
Enveloppe contenant les œufs; cavité ovarienne qui renferme les œufs.
Organe allongé que les femelles de certains insectes (orthoptères, hyménoptères) portent à l'extrémité de l'abdomen et qui sert à introduire les œufs dans un substrat dur comme une tige ou du sol.
Qui a la forme d'un œuf; ovale, plus étroit à l’apex.
Cristaux insolubles formés dans les vacuoles des cellules à la suite de la neutralisation de l’acide oxalique par le calcium en excès. Cause le développement de symptômes de la tache amère chez le poivron ou de la moucheture dorée chez la tomate.
Polluant atmosphérique formé lors de la réaction d’oxydes d’azote (NOx) et de composés organiques volatils (COV) avec le soleil.
Bractée supérieure (glumelle supérieure) insérée sur le rachéole et sous-tendant la fleur des poacées; par opposition avec la lemme (glumelle inférieure).
Opération qui consiste à attacher une plante sur un support pour faciliter sa croissance et la cueillette comme chez la framboise.
Feuille palmée dont les sinus atteignent environ le 1/3 du demi-limbe.
Feuille palmée dont les sinus atteignent plus que la 1/2 du demi-limbe.
Se dit d'une feuille composée dont les folioles sont insérées en un même point et disposées comme les doigts d'une main; se dit aussi de la nervation d'une feuille dont toutes les nervures principales partent du sommet du pétiole.
Appendice articulé, accompagnant diverses parties de la bouche chez les arthropodes.
Motif de deux couleurs ou plus, généralement vert et blanc, sur les feuilles. Les fleurs ont parfois plus d’une couleur.
Inflorescence de forme conique, composée d'un axe principal terminé par des fleurs et de rameaux secondaires, aussi terminés par des fleurs; grappe d'épillets, simple ou composée.
Saillie arrondie qui s’élève dans l’ouverture du sporange qui permet la libération des zoospores (propre au genre Phytophthora).
Calice réduit sous la forme soies, d'écailles ou d'arêtes persistantes au sommet d'un ovaire infère (graine) chez les astéracées.
Structure filamenteuse stérile pouvant être présente dans des périthèces entre les asques chez les Ascomycètes ou dans des pycnides entre les cellules conidiogènes chez les Coelomycètes.
Lobes situés de part et d'autre de l'anus chez certains insectes.
Organisme qui, pendant une partie ou la totalité de son existence, vit exclusivement aux dépens d'un ou de plusieurs êtres vivants.
Parasite capable de vivre par lui-même ou aux dépens d'un ou de plusieurs êtres vivants.
Chez les plantes supérieures, tissu composé de cellules vivantes à parois minces et peu différenciées, qui jouent un rôle dans la photosynthèse ou dans la constitution de réserves (énergie et eau), abondant à l'intérieur des feuilles, racines, tige et dans la chair des fruits.
Retirer d'un aliment tout ce qui n'est pas comestible.
Enveloppe externe d’une cellule végétale ou fongique composée de cellulose.
Développement d'un individu à partir d'un gamète femelle non fécondé; reproduction sans fécondation (asexuée) chez une espèce sexuée.
Article de la patte situé entre le fémur et le tibia.
Se dit d’un micro-organisme pouvant induire une maladie. (PS- Lorsque « pathogène » est utilisé en nom, il s’agit d’un anglicisme.)
Ce terme est un anglicisme qui signifie « le pouvoir pathogène » d’un micro-organisme.
Se dit d'une inflorescence qui comporte peu de fleurs.
L'amplification en chaîne par polymérisation est une méthode de biologie moléculaire d'amplification génique in vitro, qui permet de dupliquer en grand nombre une séquence d'ADN ou d'ARN connue à partir d'une faible quantité d'acides nucléiques.
Enzyme capable de décomposer la pectine.
Qui porte des divisions étroites, disposées comme les dents d'un peigne.
Polysaccharides qui cimentent les cellules végétales entre elles. Les fruits charnus en contiennent une grande quantité.
Qualifie la dégradation enzymatique de la pectine.
Bain de pied contenant une solution désinfectante déposé à l'entrée d'un lieu, dont les serres.
Les seconds appendices céphaliques des chélicérates adultes.
Qui porte une tige ou un pédoncule à la base.
Axe principal supportant une fleur ou un fruit; pièce allongée ou tige reliant un petit organe terminal à l'ensemble du corps d'un insecte.
Rangée de fortes épines située sur la bordure latéro-ventrale de la tête.
Rangée de fortes épines située sur la bordure postérieure du pronotum chez certains insectes, notamment les puces.
Qui a la forme d'un pinceau. Terme anglais : Penicillata.
Feuille dont les sinus atteignent environ la 1/2 du demi-limbe.
Feuille dont les sinus atteignent plus que la 1/2 du demi-limbe.
Végétal vivant plus de deux ans.
Enveloppe d'un fruit entourant la graine ou l'amande. Composé de l'épicarpe (partie externe du péricarpe; peau), du mésocarpe (chair ou pulpe) et de l'endocarpe (partie interne du péricarpe; paroi du noyau).
Couche de cellules à partir de laquelle vont se former les ramifications de la racine. Élément du cylindre central (stèle) des racines.
Couche imperméable et protectrice de cellules qui remplace l'épiderme chez la tige, les racines et les tubercules.
voir Péridium
Enveloppe membraneuse du sporocarpe chez différentes espèces de champignons. Péridium (singulier) / péridia (pluriel).
Se dit d’une bractée qui enveloppe le fruit chez les Carex.
Organe issu de la reproduction sexuée observable chez certains Ascomycètes. Cet organe est souvent en forme de poire avec une ouverture à l’apex (l’ostiole). Le périthèce contient des asques qui eux contiennent des ascospores. Voir aussi : Apothèce et Cléistothèce. [Notez qu’extérieurement, le périthèce est très similaire à la pycnide; la différence est que la pycnide contient des conidies (= spores asexuées).]
Pièce supérieure de la fleur, habituellement colorée.
Partie de la feuille, généralement rétrécie, qui unit le limbe à la tige; pédoncule basal de l'abdomen des hyménoptères (taille de guêpe).
Pétiole des folioles chez les feuilles composées.
Chez les végétaux, composé chimique observé naturellement dans les plantes qui agit comme mécanisme de défense contre les agents pathogènes.
Substance émise par un organisme qui agit sur le comportement des organismes de la même espèce.
Cellule conidiogène, souvent en forme de bouteille allongée, qui est localisée à l’extrémité d’un conidiophore.
Conidie issue d’une phialide.
Chez les plantes vasculaires, tissu conducteur de la sève élaborée (sève descendante).
Dégradation sous l'action de la lumière.
Chez les plantes vertes et certaines bactéries, processus de fabrication de glucides (sucres) à partir de gaz carbonique de l'atmosphère (CO2), d'eau et d'énergie lumineuse (soleil) et dégageant de l'oxygène.
Sucre produit lors de la photosynthèse et servant à la croissance d’un végétal.
Voir : Phragmospore.
Spore formée d’au moins trois cellules, et qui a donc au moins deux septations transversales. Syn. : Phragmoconidie.
Transformation d'un organe en feuille.
Se dit d'un micro-organisme (bactérie, champignon, insecte, nématode, phytoplasme, virus) qui cause une maladie ou un symptôme chez les végétaux.
Qui se nourrit de matière végétale.
Micro-organisme unicellulaire ressemblant aux bactéries, mais sans paroi cellulaire donc sans forme spécifique. Il s'agit d'un parasite obligatoire des végétaux; il se multiplie dans les cellules criblées du phloème des plantes hôtes et est transmis par des insectes piqueurs-suceurs, principalement les cicadelles. Cet organisme a longtemps été confondu avec les mycoplasmes affectant les animaux; c'est pourquoi on l'avait nommé MLO (= Mycoplasma-like organism). Diamètre moyen : 200 à 800 nm.
Action toxique d'une substance ou d'une préparation sur une plante, provoquant des altérations passagères ou irréversibles.
Herse rotative servant à ameublir les sols trop fermes.
Suppression de l'extrémité d'une tige pour stimuler le développement de bourgeons latéraux.
Masses gélatineuses de conidies qui se forment sur des regroupements de sporodochies. Ces structures sont souvent observables chez le genre Fusarium.
Organe reproducteur femelle constitué de l'ovaire, du style et du stigmate.
Qui sert à la production de légumes et correspond à la largeur de terre enjambée par le tracteur (1, 2 ou 3 rangs de large).
Jeunes plants de fraisiers récoltés dormant au début de l’hiver et conservés dans des frigos afin de leur fournir la dose de froid requise pour une bonne productivité le printemps suivant.
Plant constitué des tissus d’une plante (porte-greffe) et d’un greffon prélevé sur une autre plante ou non.
Plante qui démontre, par sa présence ou son absence, une grande sensibilité à son environnement immédiat.
Plante attractive, insérée dans une culture, utilisée comme source de nourriture et/ou site de reproduction alternatif pour attirer les insectes nuisibles et diminuer les dommages à la culture.
Plante ayant reçu un gène étranger par des méthodes de génie génétique.
Tubercule de semence de pomme de terre, appelé aussi semenceau.
Jeune plante provenant de la germination d'une graine.
Pièce élargie et plate, sous-jacente aux organes génitaux.
Chez certaines larves, une section du premier segment thoracique à la cuticule épaissie, souvent colorée et en forme de bouclier ou d'écusson.
Molécule d'ADN distincte de l’ADN chromosomique, généralement circulaire, observée dans le cytoplasme des bactéries ou des levures. Capable de réplication autonome, le plasmide est porteur de gènes utiles aux bactéries (gènes de résistance à des antibiotiques), mais non indispensable à la survie de la cellule hôte.
Masse de protoplasmes multinucléée et mobile, entourée d'une membrane, mais dépourvue d'une paroi cellulaire solide. Caractéristique de la phase végétative des myxomycètes.
Utilisation de films de plastique déposés directement sur le sol (butte ou billon) lors de la culture de fruits et légumes au champ.
Contenant de plastique transparent, peu profond, avec un couvercle, circulaire, dans lequel différents types de milieux de culture artificiels sont coulés. En se refroidissant, le milieu de culture devient une gélose (milieu de culture gélosé) sur lequel différents organismes peuvent être cultivés. Souvent utilisé pour la culture de champignons ou de bactéries. "Petri" provient du nom du bactériologiste, Julius Richard Petri, qui a standardisé les normes de ce contenant. Syn. : Boîte de Petri, Vase de Petri.
Collet chez les céréales.
Très courte tige chez les Allium.
Oospore qui remplit complètement l’oogone.
Qui se rapporte aux régions latérales du corps.
En forme de plume ou muni de nombreux poils longs.
Poil unicellulaire de l'assise pilifère dont le rôle consiste à absorber l'eau et les éléments minéraux contenus dans le sol.
Sur une feuille de céréale, endroit où le limbe se recourbe vers le bas.
Production de plusieurs larves à partir d'un seul œuf; œuf contenant plusieurs embryons.
Qui se nourrit de plusieurs espèces végétales.
Phialide présentant plusieurs pores par lesquels sont produites une ou plusieurs conidies (propre à certaines espèces de Fusarium). Ne pas confondre avec le conidiophore ramifié à monophialide. Voir aussi : Phialide.
Glucide naturel formé d'un grand nombre de sucres simples (oses).
Formation de la pomme (feuilles serrées) chez les crucifères (choux, salades, chou-fleur, brocoli).
Au niveau de la cellule conidiogène, sur le conidiophore, il s’agit du point où était rattachée la conidie (la porospore). Syn. : Cicatrice conidienne / Point d’abscission. Terme anglais : Scar. Voir aussi : Hile.
Plante sur laquelle un greffon est inséré.
Région située immédiatement au-dessous ou derrière le scutellum (diptères).
Paire de soies plantées derrière le triangle ocellaire.
Décomposition d'une partie d'une plante qui se caractérise par la désintégration des tissus.
Jeune plante provenant d'un bourgeon de la tige, d'un rhizome ou d'un stolon.
Unité de mesure qui signifie "Partie par billion".
Unité de mesure qui signifie "Partie par million".
Situé juste avant l'apex.
Organisme vivant qui met à mort des proies pour s'en nourrir ou pour alimenter sa progéniture.
Opération qui consiste à abaisser rapidement la température de l'air afin de forcer l’eau à se diriger vers les fruits en fin de journée.
Pression minimale requise pour empêcher le passage, au travers d'une membrane semi-perméable, d'une solution moins concentrée vers une solution plus concentrée.
Se produit lorsque l’absorption des éléments minéraux par les racines est abondante et que la plante transpire peu, il se crée alors une poussée interne avec l'entrée de l'eau dans la racine (osmose) ce qui favorise l'ascension de l'eau vers les parties supérieures de la plante.
Tige annuelle non lignifiée chez les framboisiers, par opposition à la tige fructifère. Syn. : Tige végétative.
Ébauche d'un organe d'une plante ou d'un champignon qui aboutit à la formation de cet organe. Terme latin : Primordium (singulier) / Primordia (pluriel).
Préfixe employé dans le nom des structures du premier segment thoracique.
Pièces buccales allongées des insectes possédant des pièces buccales de type broyeur-lécheur.
Type de production qui ne permet la récolte de framboises que sur la moitié du champ chaque année. Une partie du champ ne possède que des tiges végétatives et l’autre moitié que des tiges fructifères. La récolte se fait uniquement dans la partie qui n’a que des tiges fructifères. Ces tiges seront fauchées à l’automne. La partie du champ composée de tiges végétatives n’a pas de cueillette, ne sera pas fauchée à l’automne et fournira les tiges fructifères la saison suivante.
Le produit commercial (ou préparation commerciale) est un produit antiparasitaire qui a été préparé, emballé et étiqueté sous une forme directement utilisable par le producteur agricole. Il contient une ou plusieurs matières actives et des produits de formulation.
Qui dépasse en relief ce qui l'entoure.
Partie supérieure du prothorax des insectes.
Région dorsale du thorax, située derrière le métanotum et constituée par le premier segment abdominal, chez les hyménoptères.
Qui est accolé à la surface.
Être vivant constitué d’une seule cellule (unicellulaire) des règnes animal et végétal.
Cellule végétale, dépourvue de paroi cellulaire, délimitée par la membrane cellulaire et qui comprend le cytoplasme, les organelles et les noyaux.
Excroissance, proéminence ou bosse à la surface d'un organe.
Situé près du corps ou près de la base d'un appendice ou le plus près du point d'attache.
Couche blanchâtre, d'aspect poudreux et de nature résineuse ou cireuse, qui recouvre la surface d'un organe végétal (feuille ou fruit).
Appendice mou, en forme de ventouse, situé sur les segments abdominaux de certaines larves et servant au déplacement de celles-ci.
Organe issu de la reproduction sexuée (stade parfait) contenant des asques, ressemblant à un périthèce mais contenu dans un stroma. Syn. Ascostroma.
Région latérale du thorax située immédiatement sous la base de l'aile (diptères).
Légèrement couvert de poils courts et doux.
Recouvert de poils fins et courts, plus ou moins espacés.
Coussinet ou lobe, localisé sous chaque griffe tarsale chez certains insectes.
Période durant laquelle la larve se transforme en pupe.
Enveloppe résistante qui renferme la pupe de certains diptères.
Stade intermédiaire entre la larve et l'adulte chez les insectes à transformation complète (holométaboles). Durant cette période, l'insecte est immobile, mais subit d'importantes modifications physiques et métaboliques.
Éruption à la surface d’un hôte (généralement les feuilles) qui contient des masses de spores de l’agent pathogène. Souvent produite par les champignons responsables des rouilles.
Organe issu de la reproduction asexuée observable chez certains Coelomycètes. Cet organe est souvent globuleux ou pyriforme (= en forme de poire), et toujours avec une ouverture à l’apex (l’ostiole). La pycnide contient des conidies. Voir aussi : Acervule. [Notez qu’extérieurement, la pycnide est très similaire au périthèce; la différence est que le périthèce continent des asques et ascospores (= spores sexuées).]
Chez les champignons de la rouille, fructification contenant des spermaties (ou anciennement, les pycniospores). Syn. : Spermagonie. Terme latin : Pycnium (singulier) / Pycnia (pluriel). (Ex. : Puccinia graminis.)
Voir : Spermatie.
Partie dorsale du dernier segment abdominal.
Qui a la forme d’une poire. Du latin « pyrus » qui signifie « poire ». Syn. : Piriforme.
Qui a quatre angles.
État d'une plante qui est peu développée en raison d'un retard ou d'un arrêt de croissance.
Inflorescence simple indéterminée dont les fleurs sont portées par un pédicelle et dont l'axe principal ne se termine pas par une fleur. Les fleurs du racème s'épanouissent du bas vers le haut.
Axe central de l'épillet.
Axe principal portant de part et d'autre des organes entiers; chez les poacées, le rachis porte les épillets et chez la vigne, axe principal de l'inflorescence.
Chez les céréales, racine qui se développe à partir de la racine principale. Syn. : Racine secondaire.
Chez le maïs, racine latérale jouant un rôle de stabilisation de la plante.
Racine principale qui s'enfonce verticalement dans le sol. Syn. : Racine pivot.
Racine issue de la graine. Syn. : Racine primaire.
Racine qui s'est transformée en tubercule.
Racines qui sont disposées en faisceau ou en touffe, à faible profondeur dans le sol.
Ramification latérale de la racine principale. Syn. : Racine secondaire.
Petite racine secondaire naissant sur la racine principale.
Se dit d'un organisme qui vit, se nourrit, se développe sur les racines.
Première racine d’une plantule formée lors de la germination.
Axe d'un épi de maïs. Charpente qui supporte une grappe de raisin constituée du rachis, du pédoncule et des pédicelles.
Une paire de lignes présente sur le mésoscutum de certains hyménoptères.
Petite branche d'arbre (par extension), les parties ramifiées de la tige. Chez la vigne, sarment lignifié de deux ans et plus.
Ramification apicale d'un conidiophore qui se sépare et qui joue le rôle d’une conidie. Terme latin : Ramoconidium. (Ex. : Cladosporium.)
Chez les orthoptères, partie de l'organe de stridulation constituée par le bord rugueux de l'aile antérieure.
Organisme qui cause des dommages aux cultures ou aux récoltes.
Languette ou appendices colorés chez les fleurs de la famille des astéracées.
Réaction chimique au cours de laquelle se produit un échange d'électrons (appelé aussi redox).
Extrémité élargie du pédicelle où s'attachent les pièces florales.
Qui se reproduit ou revient.
Substance organique naturelle ou de synthèse ayant la propriété de stimuler, d'inhiber ou de modifier le développement d'une plante.
Propriété d'un produit antiparasitaire dont l'action se fait encore sentir dans le temps bien après son application.
Renflement mycélien à partir duquel on peut observer la présence d’un hyphe de part et d’autre (propre au genre Pythium). Par opposition à : Renflement mycélien terminal.
Renflement mycélien qui s’est développé de façon solitaire sur l’hyphe (propre au genre Pythium). Par opposition à : Renflements mycéliens concaténés.
Renflement mycélien produit à l’extrémité de l’hyphe (propre au genre Pythium). Par opposition à : Renflement mycélien intercalaire.
Renflements mycéliens plus ou moins concentriques qui se produisent en chaîne sur un hyphe (propre au genre Phytophthora et Pythium). Par opposition à : Renflement mycélien isolé.
Qui a la forme d’un rein ou d’un haricot.
Production et sécrétion excessive de résine par les tissus des conifères, habituellement à la suite d'un dommage causé par une blessure mécanique, un agent phytopathogène ou un insecte ravageur.
Aptitude d'une plante à surmonter l'attaque d'un agent pathogène en limitant ou en empêchant l'infection ou en restreignant le développement de l'agent pathogène dans la plante.
Dont la surface est marquée de nervures croisées en réseau comme les mailles d'un filet.
Se dit d'un organe au sommet légèrement entaillé.
Se dit d'une feuille dont la marge est enroulée vers la face abaxiale.
Processus qui conditionne la formation et le développement de racines chez les végétaux.
Hyphes ramifiés dont l’apparence et le fonctionnement s’apparentent aux racines d’une plante (propre à certaines Mucorales). (Ex. : Les rhizoïdes de Rhizopus.)
Tige horizontale souterraine, munie de racines et de bourgeons et contenant des réserves nutritives.
Structure formée d’hyphes mycéliens longs et ramifiés. Le rhizomorphe forme un réseau ressemblant à des racines qui aident le champignon à puiser l’eau et les nutriments dans des sources qui lui sont éloignées. (Ex. : Filaments foncés d’Armillaria sp. sur les arbres sénescents.)
Se dit d'un organe en forme de losange.
Fines gouttelettes d'eau qui se déposent le matin sur les feuilles et qui résultent de la condensation de la vapeur d'eau atmosphérique.
Ensemble de feuilles disposées en cercle à ras de terre.
Maladie causée par certains basidiomycètes produisant des spores de couleur rouille. Jusqu'à cinq types de spores peuvent être produites au cours du cycle vital : spermatie, écidiospore, urédospore, téliospore (ou téleutospore) et basidiospore.
Coloration rouge des grains chez les céréales.
Mauvaise herbe des villes présente sur les terrains vagues, terrains en friche, terrains industriels, bords de routes, de voies ferrées.
Voir : Rostre
Voir : Rostre
Voir : Hastée.
Organisme qui se nourrit de matière organique en décomposition.
Chez la vigne, rameau d'un an bien développé (lignifié).
Se dit d'un organe dont la surface ou la marge est garnie de petites protubérances aiguës très rudes au toucher.
Article basal de l'antenne.
Région du mésonotum située latéralement par rapport à la rainure parapsidale (hyménoptères).
Fruit sec indéhiscent provenant d'un ovaire dont les méricarpes se séparent plus ou moins (une fois arrivés à maturité).
Se dit d'un tissu organique ayant subi un durcissement.
Partie durcie de la paroi corporelle, ordinairement limitée par des sutures ou des zones membraneuses.
Masse macroscopique de mycélium, mélanisée, dure et compacte, qui sert d’organe de conservation. Voir aussi : Microsclérote et Bulbille.
Sillon situé sur le bec et destiné à recevoir la base de l'antenne chez les charançons.
Sclérite postérieur de la partie dorsale (notum) du mésothorax.
Dont l'ovaire se lignifie et reste en place sur le réceptacle et seules les graines sont libérées grâce à des dispositifs variés d'ouverture du fruit (fentes, pores et autres); ce sont des fruits déhiscents.
Section postérieure du radius dans l'aile d'un insecte.
Chacun des anneaux sclérifiés du corps.
Chez les angiospermes, la semence est composée d'un tégument, d'albumen, de cotylédons et d'un embryon. Syn. : Graine.
Qui croît sur la semence.
Mode d'ensemencement où les graines sont répandues à la volée à la surface du sol de manière régulière et incorporées superficiellement ou non au sol.
Technique qui permet l’établissement des cultures sans aucun travail du sol à part le semis (conservation des sols).
Processus physiologique naturel qui entraîne une lente dégradation des fonctions de l'organisme. Chez les végétaux, la sénescence peut toucher qu'une seule partie d'un organisme.
Qui présente les caractères de la sénescence.
Chacune des pièces de l'enveloppe extérieure de la fleur (le calice), presque toujours vert.
Paroi ou cloison transversale dans le mycélium. Terme latin : Septum (singulier) / Septa (pluriel).
Chez les champignons, qui présente une ou plusieurs cloisons transversales dans les hyphes ou les spores. Syn. Cloisonné.
Se dit d'un organe dont la marge est pourvue de dents pointant vers l'apex.
Se dit d'un organe qui repose directement sur un autre organe, sans pédoncule ou pétiole; état de certains insectes incapables de se déplacer.
Voir : Setae.
Poils microscopiques (ou soies) unicellulaires ou pluricellulaires pouvant être hyalins ou pigmentés. Terme latin : Seta (singulier) / Setae (pluriel).
Sève constituée d'eau et de sels minéraux qui circule dans les vaisseaux du bois (le xylème). La montée de la sève brute s'effectue des racines vers les feuilles.
Sève constituée de glucides et de protéines fabriqués dans les feuilles lors de la photosynthèse, circulant dans les vaisseaux du liber (le phloème). La sève élaborée apporte à toutes les cellules de la plante les substances nutritives dont elle a besoin pour croître, se multiplier et fructifier.
En forme de S.
Petite silique moins de trois fois plus longue que large. Voir aussi : Silique.
Fruit sec, déhiscent, allongé, formé de deux valves séparées par une membrane longitudinale sur laquelle sont insérées les graines. Caractéristique de la famille des brassicacées (dont le genre Brassica).
Chez les grains, petite fente longitudinale observée à la face ventrale et courant sur toute la longueur du grain.
Entier; non divisé, dentelé ou fourchu.
Petite silique moins de trois fois plus longue que large. Voir ausi : Silique.
Poil long, fin et raide; appendice mince en forme de gros poil.
Soie située sur la surface externe antérieure du thorax, juste derrière le calus huméral (diptères).
Soies situées en avant de la suture transverse du pronotum.
Rangée longitudinale de soies sur le mésonotum.
Soies de la partie supérieure de la face, voisines des yeux composés.
Soies du calus huméral (diptères).
Rangée de soies insérées sur chaque hypopleure.
Sur le mésonotum, rangée de soies située au-dessus de la base des ailes.
Paire de soies voisines des ocelles (diptères).
Groupe de soies insérées sur le mésonotum, au-dessus de la base de l'aile.
Appareil aratoire qui remue les couches de sol situées à plus de 30 cm de profondeur.
Grande bractée qui sous-tend ou enveloppe certaines inflorescences.
Se dit d'un organe en forme de spatule, oblancéolé, à base atténuée et à sommet arrondi.
Chez les rouilles (Urédinales), très petites spores produites dans des pycnies (ou spermogonie). Terme latin : Spermatium (singulier) / Spermatia (pluriel). Syn. : Pycnidiospore, pycniospore.
Se dit d'une inflorescence qui simule la forme d'un épi.
Voir : Volontaire.
Vésicule à l'intérieur de laquelle se forment des spores asexuées non mobiles (= les sporangiospores) chez les Mucorales ou des spores asexuées mobiles (= les zoospores) chez les Oomycètes.
Sporange n’ayant pas de papille (propre au genre Phytophthora).
Sporange ayant une papille proéminente et bombée vers l’extérieur (≥ 2 µm) (propre au genre Phytophthora).
Sporange produit dans le vestige du sporange précédent, en continuité sur le même sporangiophore.
Sporange ayant une papille modérée (< 2 µm) (propre au genre Phytophthora).
Hyphe spécialisé qui porte le sporange.
Chez les Mucorales, spores asexuées contenues dans les sporanges.
Spores sexuées : ascospores, basidiospores, oospores, zygospores et téliospores
Spores asexuées : conidies, chlamydospores, zoospores, sporangiospores, urédospores
Voir : Spore de résistance.
Spore à paroi épaisse qui survivra dans des conditions environnementales défavorables et qui germera lorsque les conditions redeviendront plus clémentes. Syn. : Spore de repos, structure de conservation. Terme anglais : Resting spore. (Ex. : Chlamydospore de Fusarium / Cystosore de Spongospora / Téliospore de Puccinia / Oospore de Pythium.)
Amas de spores.
Chez les Myxomycètes, terme utilisé pour décrire l’ensemble de la fructification, c'est-à-dire, le sporocyste, les spores et le stipe. Syn. : Sporophore, appareil sporophytique, appareil fructifère, corps fructifère, carpophore.
Structure de forme globulaire qui contient les spores chez certains zygomycètes. Syn. : Sporange.
Regroupement de conidiophores qui forme du masse de conidies (propre aux Hyphomycètes). Terme latin : Sporodochium (singulier) / Sporodochia (pluriel). (Ex. : Certaines espèces de Fusarium forment leurs macroconidies dans des sporodochies.)
Organe de fructification des champignons basidiomycètes, souvent constitué d'un pied et d'un chapeau, et portant des spores à la face inférieure du chapeau; partie visible de ces champignons. Syn. : Carpophore.
Période définie dans le développement d'un insecte (œuf, larve (plusieurs stades), pupe, adulte) ou d'une plante.
Partie centrale des racines renfermant l'ensemble des tissus conducteurs de sève.
Sclérite latéral du thorax, au-dessus de la patte médiane (diptères).
Tache foncée formée par l'épaississement de la membrane alaire, située dans la partie distale de l'aile, le long de la bordure costale.
Pore respiratoire; ouvertures latérales situées sur les segments du corps de l'insecte et par lesquelles l'air pénètre dans les trachées. Partie terminale du pistil d'une fleur sur laquelle germe le pollen.
Organe qui supporte le sporocyste. Syn. : pied, tige.
Qui possède un pied (un stipe).
Petit appendice, généralement foliacé, membraneux ou épineux, situé à la base du pétiole de la feuille.
Tige horizontale, aérienne ou souterraine, munie de racines et de bourgeons, qui s'enracine pour former un nouvel individu. Organe qui relie les tubercules de pomme de terre au plant mère.
Orifice microscopique spécialisé, entouré des cellules de garde, que l'on retrouve dans l'épiderme de la feuille ou de la tige, par lequel s'effectuent la transpiration et les échanges gazeux.
Bruit produit par le frottement d'une surface ou d'une structure sur une autre (principalement utilisé chez les orthoptères).
Qui porte des rainures ou des sillons étroits.
Masse compacte d’hyphes sur laquelle, ou à l’intérieur de laquelle, des fructifications fongiques, sexuées ou asexuées, peuvent se former. Par exemple : Chez certains Hyphomycètes, comme Cercospora, les conidiophores se forment à la surface d’un stroma. Chez certains Coelomycètes, comme Cytospora, des pycnides peuvent être agglomérées dans un stroma. Chez certains Ascomycètes, comme Diaporthe, des périthèces peuvent être agglomérés dans un stroma. Terme latin : Stroma (singulier) / Stromata (pluriel). Voir aussi : Ascostroma et Conidiostroma.
Voir : Stroma.
Qui se rapporte au stylet.
Petit prolongement pointu, articulé ou non, généralement situé à l'extrémité de l'abdomen. Partie allongée du pistil reliant l’ovaire et le stigmate.
Chez les nématodes et certains insectes, pièce buccale élancée et perforante utilisée pour se nourrir de liquide non libre (sève, suc cellulaire, sang, etc.).
Situé juste avant l'apex.
Substance imperméable qui se dépose en couches successives sur ou dans les cellules des tissus liégeux.
Réfère à la zone précédant la marge; désigne les cellules de l'aile se situant sous la cellule marginale.
Qui a une forme allongée se terminant en pointe; en forme d’alêne (poinçon servant à percer le cuir). Terme anglais : Subulate.
Se dit d'une plante dont la partie inférieure, le plus souvent souterraine, est ligneuse et la partie supérieure herbacée.
Sillon rectiligne généralement situé entre deux sclérites (les plaques rigides de l'exosquelette des arthropodes). Chez les coléoptères, on nomme «suture des élytres» la jonction entre les ailes antérieures sclérifiées (élytres).
Suture de l'aile antérieure des hémiptères.
Suture située sur la face, entre le front et le clypéus.
L'une des deux sutures situées de part et d'autre du front; suture en forme de U ou de V inversé dont l'apex est situé juste au-dessus de la base des antennes.
Suture longitudinale délimitant la gula (gorge).
Suture entre la région pleurale et le notum d'un segment.
Sur la partie postérieure de la tête, suture qui sépare le vertex et l'occiput dorsalement, les gènes et les post-gènes latéralement.
Suture située sur la face latérale du thorax.
Suture séparant le prosternum du proépisternum.
Suture horizontale de la tête située sous les gènes (joues).
Association étroite de deux ou plusieurs êtres vivants, mutuellement bénéfique, voire indispensable à leur survie.
Cellule conidiogène possédant plusieurs pores (points d’attache). Du latin sympo, qui signifie « uni », et diale, qui signifie « pied ».
Un champignon produisant deux types d’anamorphe (deux types de conides).
Ensemble de conidiophores regroupés en un faisceau donnant l’apparence d’un seul conidiophore large. Une agglomération de conidies est souvent présente à l’apex de cet ensemble, qui est observable chez certains Hyphomycètes. Syn. : Corémie. Terme latin : Synnema (singulier) / Synnemata (pluriel).
Voir : Synnema.
Ensemble des tissus végétaux (xylème et phloème) destinés à la circulation de la sève brute et élaborée dans la plante.
Qui pénètre à l'intérieur de la plante et qui, véhiculé par la sève, agit au niveau de tous les organes de la plante. (Ex. : Herbicide systémique.)
Lésion bien définie, de dimension habituellement inférieure à un centimètre, ayant une forme circulaire, ovale, elliptique ou angulaire et pouvant même être irrégulière. Inclut la moucheture.
Tige secondaire formée à la base d’un plant. Les talles naissent au niveau du sol à partir du collet (plateau de tallage) qui résulte de la condensation d'une série d'entrenœuds très courts.
Partie du tubercule qui est lié au plant mère par le stolon.
Organe saillant que les femelles de certains insectes (orthoptères, hyménoptères) portent à l'extrémité de l'abdomen et qui sert à introduire les œufs dans les milieux résistants.
Associé au tarse.
Appendice articulé situé à l'extrémité du tibia et formé d'un à cinq articles.
Aile antérieure épaissie des orthoptères et de certains hémiptères.
Petite structure en forme d'écaille recouvrant la base de l'aile antérieure. Syn. : Tégule.
Revêtement externe du corps; squelette externe. En botanique, le tégument désigne un tissu formant une enveloppe autour de divers organes.
Voir : Stade sexué.
Chez les basidiomycètes (rouille et charbon), fructification qui produit des téliospores. Syn. : Téleutosore. Terme latin : Telium (singulier) / Telia (pluriel).
Chez les basidiomycètes (rouille et charbon), spore de conservation à paroi épaisse et foncée qui donne naissance aux basides. Chez les champignons de la rouille, stade qui correspond aux spores noires. Syn. : Téleutospore et Ustilospore.
Se dit des pièces d’un périanthe (sépales et pétales) lorsqu'elles sont semblables quant à la forme et à la couleur.
Voir : Tergum.
Face dorsale ou supérieure des segments des arthropodes. Syn. : Tergite.
Le test immuno-enzymatique ELISA est utilisé pour détecter la présence d'un anticorps ou d'un antigène dans un échantillon.
Couche externe de la graine.
Fruit sec indéhiscent (schizocarpe), composé de 4 méricarpes.
Traitement à la chaleur qui détruit ou déstabilise certains agents pathogènes (virus, champignon).
Relatif au thorax.
Région du corps située entre la tête et l'abdomen, portant les pattes et les ailes.
Inflorescence composée de cymes disposées en racèmes.
Segment de la patte situé entre le fémur et le tarse.
Relatif au tibia.
Tige lignifiée qui porte les fruits, par opposition aux tiges annuelles (primocanes) chez le framboisier.
Partie de l'embryon qui donnera naissance à la tige chez les plantes supérieures.
Se dit d'un organe densément couvert de poils courts, entremêlés et courbés.
Groupement de feuilles d'un même plant formant une masse compacte et homogène, les anciennes feuilles étant recouvertes par les nouvelles.
Substance toxique, d'origine biologique, élaborée par des végétaux ou des animaux.
Longuement rampant sous terre.
Tube membraneux relié aux stigmates qui assure le transfert des gaz (notamment l'oxygène), dans le corps de l'insecte.
Les virus dont le mode de transmission est non-persistant ont une durée de rétention très courte dans leurs vecteurs. Ils sont acquis par l'insecte (ex: puceron) par de brèves piqûres lorsque celui-ci va s'alimenter d'une pante infectée. Le virus contracté n'entrera pas dans l'appareil digestif de l'insecte et devra être transmis rapidement à une autre plante hôte (quelques minutes à quelques heures) avant de perde sont pouvoir infectieux. Les virus du type non-persistant ont généralement une moins grande spécificité virus-vecteur et n’ont pas la capacité de se multiplier dans leur vecteur. Syn. : Mode de transmission non-circulant.
Eau perdue par évaporation à la surface des parties aériennes, principalement par les stomates des feuilles.
Qui coupe en travers, division perpendiculaire.
Région triangulaire, légèrement surélevée, qui supporte les ocelles.
Toute structure épidermique ayant la forme de poil.
Petit segment de la patte, situé entre la coxa et le fémur.
Petite pièce détachée du thorax, qui articule l'épisterne avec la hanche; aussi connue sous le nom de petit trochanter.
Chez Pythium, un tube est produit par un sporange et est suivi d’une vésicule dans laquelle les zoospores sont formées et ensuite libérées par la rupture de la membrane. Terme anglais : Discharge tube.
Renflement d'une racine, d'une tige souterraine (rhizome) ou parfois d'une tige aérienne, servant d'organe de réserve et de multiplication; peut aussi désigner un petit renflement ou protubérance.
Voir : Chancre.
Structure basse en plastique, soutenue par des arceaux, chauffée ou non, construite pour protéger des cultures précoces ou tardives des conditions climatiques extérieures défavorables.
Tissus ou cellules d'un organisme qui sont gorgés d'eau.
Chez les hémiptères, partie distale du clypéus, bordée par des fentes qui la séparent des lobes latéraux de la tête.
Se dit d'un organisme vivant, d'une espèce que l'on rencontre partout; qui est partout à la fois.
Se dit de la paroi d’un asque qui comporte une seule épaisseur. Par opposition à : Paroi bituniquée.
Qui produit une seule génération par année.
Chez les champignons de la rouille, fructification qui produit des urédospores. Syn. : Urédosore. Terme latin : Uredium (singulier) / Uredia (pluriel).
Chez les champignons de la rouille, spore asexuée produite au cours de l'été et capable d'infecter la plante. Syn. : Urédiospore et Urédiniospores.
Dont la piqûre ou le contact produit une démangeaison.
Petit sac qui entoure chacune des fleurs femelles chez certaines familles de plantes (ne contenant qu'une seule graine); chez les Carex seuls les stigmates sortent de l’ouverture au sommet; petite outre ou vessie permettant aux plantes aquatiques de se maintenir dressées sous l'eau.
Organite cytoplasmique présent dans les cellules végétales.
Tissus conducteurs (xylème) d'une plante qui transportent l'eau et les éléments minéraux.
Lobe situé dans la région anale de l'aile postérieure, près de l'apex de la nervure anale (hyménoptères). Syn. : Lobe vannal.
Relatif aux tissus conducteurs (vaisseau) d'une plante.
Organisme porteur d'agents pathogènes, pouvant les transmettre.
Période correspondant à la récolte du raisin destiné à la production du vin.
Situé en dessous ou en position inférieure; relatif à la surface inférieure.
Stade de développement d’une plante caractérisé par le changement de couleur du fruit. (Ex. : Raisin.)
Transformation opérée par le froid qui confère à certaines plantes, ayant dépassé le stade de maturité de floraison, l'aptitude à fleurir.
Qui porte de petites aspérités semblables à des verrues.
Accident de végétation par lequel les tiges des plantes cassées ou pliées sont couchées au sol.
Région de la tête, située immédiatement derrière le front, entre les yeux composés; elle est bornée latéralement par les yeux et les tempes et postérieurement par l'occiput. Ce mot est souvent employé pour désigner le sommet de la tête; porte habituellement les ocelles pairs.
Renflement de la portion terminale du conidiophore (propre aux Hyphomycètes). Ne pas confondre avec la columelle des Mucorales et l’ampoule stérile de Cylindrocladium. (Ex. : Aspergillus.)
Petit, peu développé, réduit, non fonctionnel.
Verdissement de pièces florales, souvent les pétales.
Agent infectieux des plantes et des animaux, de très petite taille et qui se reproduit à partir de son seul matériel génétique représenté par un seul type d'acide nucléique (ADN ou ARN). Le virus est un parasite obligatoire qui est incapable de générer de l'énergie ou toute autre activité métabolique.
Se dit des organes contenus dans une cavité corporelle.
Qui ne pond pas d'œufs, mais donne naissance à des descendants déjà partiellement développés.
Plante issue de graines laissées aux champs par la culture antérieure; qui agit comme une mauvaise herbe dans la nouvelle culture. Aussi appelé spontané (plante) ou repousse.
Se dit d'une tige qui s'élève en s'enroulant autour d'un support.
Organe filiforme enroulé, naissant d'une tige ou à l'extrémité d'une feuille, qui permet de se fixer et de s’élever autour d’un support.
Se dit d'un organisme adapté aux milieux secs.
Chez les plantes vasculaires, tissu conducteur de la sève brute (sève ascendante).
Bourgeon axillaire ou terminal qui donne naissance à de nouveaux plants.
Partie située à l'extrémité d'un fruit qui portait le stigmate de la fleur. Zone localisée à l'opposé du pédoncule.
Organe asexué en forme de sac qui contient les zoospores (propre aux Oomycètes).
Spore asexuée mobile, munie d'un ou de plusieurs flagelles, pouvant de se déplacer dans l'eau. Les zoospores proviennent des zoosporanges.
Zoospore immobile dont la paroi s’est épaissie.
Mycètes microscopiques saprophytes, parasites ou qui vivent en symbiose. Ils forment les moisissures. Leur reproduction peut être sexuée ou asexuée. (Ex. : Les Mucorales.)
Spore sexuée appartenant à la classe des zygomycètes. Cette structure est rarement observée sauf chez quelques groupes de saprophyte comme les Mucoromycotina ou les Glomeromycota. Syn. : Spore sexuée.
Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.
En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.