Hemiptera / Cicadellidae - Oeuf : environ 1,0 mm; il est transparent juste après la ponte et devient vert par la suite.
Larve : 3,0 mm à maturité; le corps est vert pâle et semblable à celui de l'adulte, mais avec des ailes incomplètes; les pattes postérieures sont longues, épineuses et adaptées pour le saut.
Adulte : 3,0 à 4,0 mm; le corps est vert pâle avec des taches blanches sur la tête, le thorax et le scutellum; les pattes postérieures sont longues, épineuses et adaptées pour le saut; les ailes sont translucides et plus longues que le corps. La cicadelle de la pomme de terre est une espèce polyphage pouvant se nourrir sur plus de 200 espèces végétales, ses préférées étant la luzerne, le haricot et la pomme de terre. Parmi les autres p
Thysanoptera / Thripidae - Oeuf : 0,2 mm; de couleur jaune pâle opaque; il est réniforme.
Larve : fusiforme; de couleur jaune clair; elle ne possède pas d'ailes.
Pupe : environ 1,3 mm; de couleur blanche à jaunâtre; les yeux sont petits et noirs; présence de bourgeons alaires; les antennes sont repliées et pointent derrière la tête.
Adulte : 1,3 à 1,5 mm; le corps est jaunâtre avec des soies noires; les ailes sont plumeuses. Au printemps, les thrips se nourrissent des fleurs et provoquent le brunissement des anthères et des stigmates, qui se fanent et tombent prématurément. Plus tard en saison, les thrips s'attaquent également aux fruits en développement. Les fruits infestés adoptent une coloration bronzée et se craquellent, devenant ainsi
Asteraceae - L'érechtite à feuilles d'épervière est une espèce annuelle, indigène en Amérique du Nord. La tige a un port dressé, elle est parfois ramifiée et mesure de 20 à 80 cm de hauteur. Elle est pubescente ou occasionnellement glabre. Le système racinaire est composé de racines fasciculées.
Les feuilles sont un peu charnues, glabres et alternes sur la tige. Celles du bas sont pétiolées et celles du haut sont souvent sessiles ou auriculées et embrassantes sur la tige. Le limbe est de forme ovée à lancéolée ou elliptique et mesure de 6 à 20 cm de longueur et de 2 à 8 cm de largeur. La marge est dentée à faiblement lobée. La face inférieure des feuilles est grisâtre.
L'inflorescence ressemble à une panicule disposée au sommet de la tige
Sur des folioles de fraisiers cultivés en serre, présence de nombreuses taches circulaires brunâtres ayant un diamètre variant entre 1 et 5 mm. Elles sont présentes uniquement à la face inférieure et réparties sur l'ensemble du limbe. Comme les taches sont circulaires et que la répartition des taches est uniforme ou symétrique sur le limbe, il est vraisemblable de croire que le problème a une origine non parasitaire. Une phytotoxicité à la suite d'une utilisation d'huile de dormance semble la cause la plus probable. Cette huile minérale n'est pas homologuée dans la culture de la fraise. Taches brunes sur foliole de fraisier
À la fin de la saison de croissance, les plants provenant de la zone traitée au Telone C-17 se sont mieux développés comparativement aux plants provenant de la zone non traitée lesquels sont demeurés petits. Aucune donnée ne permet de conclure si cette différence de croissance est associée au Telone C-17. Les tests de laboratoire n'ont pas révélé de différence en ce qui concerne la présence de champignons phytopathogènes dans les racines ni en regard des nématodes phytopathogènes dans le sol entre les zones traitées et non traitées. L'hypothèse retenue est qu'il est possible que les plants qui n'ont pas eu de Telone C-17 aient eu un retard de croissance au début de la saison dû à la présence d'organismes phytopathogènes dans le sol non
Le vent cause des dommages aux feuilles et aux pétioles en créant des blessures mécaniques, du frottement, de l'abrasion par des particules de sol ou en exposant la face inférieure des feuilles aux rayons du soleil. Comme la face inférieure de la feuille est plus sensible aux rayons du soleil, cela peut engendrer une insolation. Les dommages par le vent sont généralement occasionnels et mineurs. La fraise, la framboise, le pommier et le poirier sont sensibles au vent. Les blessures créent des portes d'entrée pour les bactéries et les champignons. Feuille : brunissement à noircissement du limbe à la face inférieure. À la face supérieure, le limbe devient vert foncé à pourpre à brun puis sèche. Les dommages surviennent lorsque deux ou plusieu
La cyperméthrine est un insecticide utilisé pour lutter contre divers insectes nuisibles dans une vaste gamme de cultures. Elle est homologuée dans la culture de la fraise. Cet insecticide appartient au groupe de résistance 3A qui comprend les pyréthrines. La cyperméthrine est un dérivé du pyrèthre une substance insecticide naturelle contenue dans certaines plantes. Ces insecticides agissent sur le système nerveux de l'insecte affectant le modulateur du canal sodium qui a une action sur une protéine de l'insecte. Elle agit par contact ou par ingestion de manière à éradiquer aussi bien les larves que les insectes adultes. Chez la fraise, la cyperméthrine contrôle la punaise terne (Lygus lineolaris), l'anthonome de la fleur du fraisi
Toutes les cultures cultivées au champ sont sujettes à des dommages par la grêle. Ces dommages n'évoluent pas, mais la grêle cause des blessures qui deviennent une porte d'entrée pour le développement d'organismes secondaires. Lorsque la grêle survient au moment de la floraison, de la nouaison ou du développement des fruits, les dommages sont plus importants. La grêle demeure un problème non parasitaire occasionnel et mineur. Feuille : présence de lacérations ou de déchirures du limbe. Les feuilles les plus exposées sont atteintes en premier.
Fleur : chute possible des fleurs, hypothéquant la production de fruit. Présence de taches brunes et dépressives sur les carpelles.
Fruit : présence de taches, de lésions, de dépressions, de pourri
Les herbicides du groupe 4 regroupent les herbicides de type phytohormones de synthèse (ou régulateurs de croissance) et incluent les familles d'herbicides tels que les auxines synthétiques (phytohormones synthétiques ou acides phénoxy-carboxyliques), les acides benzoïques et les acides pyridiniques. Ces herbicides sont absorbés prioritairement par le feuillage mais aussi par les racines. Ils peuvent s'accumuler dans les zones de division cellulaire intensive (méristème, bourgeon, racine) et sont transloqués dans la plante via le xylème et le phloème. Ce groupe d'herbicide affecte la balance hormonale et la synthèse des protéines, entraînant une perturbation de la division cellulaire et de l'élongation, ce qui se traduit par une croissance
Le fer est disponible dans le sol sous la forme Fe2+, Fe3+ et chélatée. Les formes ioniques sont peu abondantes dans les sols et les solutions nutritives. On retrouve surtout la forme chélatée. Le fer est l'élément mineur le moins mobile dans la plante. Il est absorbé par la zone apicale des racines. Il joue un rôle majeur dans la synthèse de la chlorophylle et des protéines et est impliqué dans la respiration et la fixation de l'azote.
La carence en fer est très occasionnelle et mineure chez l'hibiscus. Outre l'hibiscus, quelques légumes (asperge betterave, céleri, crucifères, épinard, haricot blanc, tomate), plusieurs plantes ornementales (azalée, calibrachoa, géranium, pensée, pétunia, rhododendron, etc.), le bleuet en corymbe, la frai